L’Association pour le Développement et l’Intégration de la Jeunesse Rurale (ADIJR-Burkina) a organisé une tournée auprès des autorités administratives de la province du Zoundwéogo, pour faire un plaidoyer sur les droits socio-économiques des jeunes. Elle a présenté et officiellement remis à ces autorités le rapport d’étude du programme Youth Organization In West Africa (YOWA), une étude qu’elle a mené et qui a porté sur l’état des droits sociaux et économiques des jeunes dans sept communes de la province du Zoundwéogo, ainsi que leurs droits à la santé sexuelle et de reproduction.

C’est dans le cadre de la mise en œuvre de ses activités pour l’année 2018, l’Association Sagltaaba pour l’épanouissement de la femme et de la jeune fille (A.S.E.F.F) située à Tanghin au secteur 17 de Ouagadougou, a initié une journée porte ouverte pour offrir des soins gratuits aux populations et être encore plus proche d’elle. Cette activité qui a débuté ce lundi 29 janvier 2018 s’achève le 4 février prochain et l’objectif est d’amener le public environnant du site et toute la population de Ouagadougou à venir se soigner gratuitement et faire des examens à coûts sociaux.  

13 personnalités ont été distinguées ambassadeurs de la paix ce dimanche 28 janvier 2018 à Ouagadougou, et l’initiative est de l’Observatoire des opérateurs économiques des ambassadeurs internationaux de la paix. Ces récipiendaires dont le guide spirituel Cheick Soufi Moaze, auront pour mission d’élargir les frontières de la paix au Burkina Faso dans un contexte sociaux-économique et sécuritaire marqué par la défiance de l’autorité de l’Etat et le terrorisme. 

Protocole d’accord signé entre le gouvernement et la Coordination nationale des syndicats de l’éducation (CNSE), dans la nuit d’hier à aujourd’hui dimanche 28 janvier 2018. La crise qui a secoué le monde de l’éducation prend ainsi fin, après pratiquement quatre mois de paralysie laissant apparaitre le spectre d’une «année blanche».

C’est à l’hôtel Pacific, ce jeudi 25 janvier 2017 que les dix personnalités influentes de l’année ont été distinguées par «Intelligence Burkinabè pour le Développement», un Think Tank qui a décidé de promouvoir le leadership au sein de la jeunesse. Pour cette première édition des noms et des structures bien connus par les burkinabè ont vu leurs mérites récompensés. Dans la catégorie tradition et religion, le choix du comité d’organisation s’est porté sur le guide spirituel de la communauté musulmane Soufi du Burkina Faso, le Cheick Moaze, pour son combat pour la paix et tolérance religieuse dans un contexte où le Burkina Faso est victime d'attaques terroristes et traverse plusieurs difficultés. 

Par correspondance N°2017-124/MEDIA-FA/CAB/DCCI du 27 novembre 2017, portant «Rencontre de prise de contact », Madame le Médiateur du Faso, Saran SEREME SERE, a sollicité une rencontre de prise de contact avec le Collectif Syndical CGT-B. En réponse, le Collectif Syndical CGT-B a donné son accord, à travers la correspondance N/Réf : 2018 – 005 / Coll-Synd / Bur du 18 janvier 2018, en proposant le jeudi 25 janvier 2018 à partir de 10 heures dans les locaux du Médiateur du Faso.

Adopter des dispositions qui protègent et assassinent le domaine de la publicité au Burkina Faso, c’était cri de cœur que lançaient les acteurs de ce secteur depuis des années. C’est chose faite depuis le 22 février 2017 avec le décret portant définition des conditions de règles applicables à l’exercice des professions publicitaires, signé en conseil de ministres. Jeudi 25 janvier 2018, le réseau des publicitaires et associés était face à la presse. L’objectif était de féliciter le gouvernement pour ce geste, mais aussi partager avec l’opinion, les nouvelles dispositions qui encadrent la profession de la publicité au Burkina Faso, dont la date de mise en application est fixée au 15 juin 2018. 

Ceci est une déclaration de l’Union de la presse indépendante du Faso (UNPIF), qui s’insurge contre une «gymnastique juridique», servie par les six Magistrats en procès contre le journaliste Lookmann Sawadogo. 

Ceci est une déclaration du Comité de défense et d’approfondissement des acquis de l’insurrection populaire (CDAIP) sur la crise que traverse le système éducatif au Burkina Faso. 

Près de 40 personnes, dont plus de la moitié de civils, ont péri dans des attaques au Mali en l’espace de 24 heures, au moment où l’ONU donnait aux signataires de l’accord de paix de 2015 deux mois pour prouver leur bonne volonté. 

Comme à l’accoutumée, l’association des anciens fonctionnaires des Nations-Unies au Burkina Faso a créé le cadre pour permettre à ses membres de se souhaiter mutuellement les meilleurs vœux. C’était ce mercredi 24 janvier 2018, à Ouagadougou, en présence de plusieurs personnalités dont le représentant de la FAO au Burkina Faso, Ongone Obamé.