Selon des informations qui nous sont parvenues, la liberté provisoire a été accordée ce mardi 10 octobre 2017 au Général de Gendarmerie Djibril Bassolé. Mais selon des sources proches du dossier, ce n’est pas sans difficulté que cette décision a été prise.

24 heures après la conférence de presse du président de l’Union pour le Progrès et le Changement (UPC), pour dénoncer l’attitude des 13 députés démissionnaires de leur groupe parlementaire, ce sont les militants du parti, section Kadiogo qui montent au créneau. Lors d’une rencontre avec la presse ce mardi 10 octobre 2017, ils lancent des ultimatums aux déserteurs. Des actions sont prévues disent-ils, pour «récupérer leurs mandats des mains des frondeurs».

Le Président de la République du Bénin, Son Excellence Monsieur Patrice Talon est arrivé en début de soirée, le lundi 9 octobre 2017 à Ouagadougou pour une visite d’amitié et de travail de 48 heures au Burkina Faso.

L’Union pour le Progrès et le Changement (UPC) a tenu un point de presse ce lundi 9 octobre 2017 au siège du parti sur la crise que vie la formation politique depuis quelques jours. Il s’est agi pour Zépherin Diabré et ses camarades de donner leur version des faits sur que qui arrive au «parti du Lion» avec la démission de ses 13 démissions et de ne pas reconnaitre le deuxième groupe parlementaire «UPC/Renouveau démocratique», créé par les démissionnaires qui disent quitter le groupe parlementaire/UPC, mais pas le parti.

En prélude au Forum national sur la sécurité prévu se tenir du 24 au 26 octobre prochain à Ouagadougou, les experts de ses questions ont lancé le débat autour d’un pré-forum du 9 au 10 octobre 2017 dans la capitale burkinabè. Durant 48 heures, ces spécialistes des questions sécuritaires vont se plancher sur les questions de sécurité, gouvernance et contrôle démocratique des forces de défense et de sécurité. 

Une rentrée politique du mouvement du peuple pour le progrès (MPP) sans Salif Diallo, mais avec ses idéologies bien présentes, s’est effectuée ce jeudi 5 octobre 2017, à Ouagadougou. Ce sont plusieurs points de l’actualité qui ont été abordés par le 1er vice-président Simon Compaoré et ses camarades. Ainsi cette «rentrée des classes» du MPP est placée sous le thème «Le Mouvement du peuple pour le progrès face aux défis de la sécurité, de la restauration de l’autorité de l’Etat et de la forte demande sociale».

Les étudiants, les plus méritants de l’année académique 2016-2017 des universités, ont été récompensés pour leur effort et leur abnégation au travail. C’est une initiative de l’Université Ouaga II, qui vise à offrir aux étudiants burkinabè et étrangers de nouvelles possibilités d’études et à leur mettre dans de meilleures conditions d’études. Tenue les 02 au 03 octobre 2017 à Ouagadougou, cette première édition de récompenses était couplée au lancement d’un centre informatique à Ouaga II. Le Pr Stanislas Ouaro, président de l’Université Ouaga II et son équipe, étaient accompagnés par le ministre en charge de l’enseignement supérieur le Pr Al Kassoum Maiga, par ailleurs patron de la cérémonie. 

Ce mardi 03 octobre 2017, par cette une conférence de presse, on en sait davantage sur la crise qui secoue le Cadre de Réflexion et d’Actions Démocratiques (CADRe). Cette rencontre avec les hommes de média organisée par une fraction de la structure, avait pour ordre du jour, le renouvellement de structures exécutives universitaires et communales de Ouagadougou, jugé contraire aux textes. C’est d’ailleurs ce débat qui a conduit à la suspension du secrétaire exécutif national adjoint Daniel Traoré et trois autres membres du secrétariat.

Au cours d’un point de presse tenu ce mercredi 04 octobre 2017 à Ouagadougou, Pascal Zaida et ses camarades du Cadre d’Expression Démocratique (CED), ont annoncé que leur meeting de veille citoyenne qui était prévu le 07 octobre prochain à la place de la Nation, a été interdit par la mairie de Ouagadougou. Révolté contre cette décision qualifiée d’ «arbitraire», le CED l’attaque en justice et informe son public que le meeting aura maintenant lieu le 21 octobre 2017, avec ou sans l’aval de l’autorité publique.

La politique nationale de protection sociale adoptée par le Burkina Faso en 2012, était au cœur des échanges ce mardi 03 octobre 2017 à la primature. Entre le premier ministre Paul Kaba Thiéba et le groupe des Partenaires techniques et financiers (PTF) venu pour l’occasion, il a été question de faire le bilan de la mise œuvre de cette politique.