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Ce jeudi 21 septembre 2017 à l’OCADES, la jeunesse de la Nouvelle Alliance du Faso (NAFA), section Kadiogo, a dans une déclaration exigée la libération du général Djibril Bassolé. Le Général de gendarmerie, poursuivi pour «haute trahison» dans l’affaire du putsch manqué du 16 septembre 2015 est incarcéré depuis le 29 septembre 2015. Pour les jeunes de la NAFA, c’est tout simplement «un acharnement politico judiciaire» contre de général.

Safiatou Lopez de nouveau devant la justice, c’était ce jeudi 21 septembre 2017. Cette fois-ci, c’est l’affaire des écoutes téléphoniques et de la publication des conversations entre elle et Idrissa Nogo, qui est sur la table des juges. Les deux parties étaient appelées pour être entendu par les juges ce jeudi mais le dossier est finalement reporté à une date ultérieure à la demande des avocats de la défense.

Ce mercredi 20 octobre 2017, un nouveau mouvement a été présenté aux hommes de médias, c’est le « Rassemblement des OSC contre la déstabilisation du Burkina Faso ». Face donc à la presse, les objectifs de ce rassemblement composé d’artistes musiciens et d’OSC ont été déclinés et il s’agit entre autre de dénoncer ce qu’ils qualifient de « tentative de restauration de l’ancien régime ». Une mobilisation générale est annoncée pour le 1er octobre 2017 à la maison du peuple pour disent-ils, «barrer la route et dire non aux différentes actions des forces du mal».

L’Organisation mondiale de la santé a ciblée le Burkina Faso pour son projet sur la santé de la reproduction, qui fait partir des projets structurants pour l’action publique en faveur de la santé. Pour ce faire, ce mardi 20 septembre 2017, le ministre de la santé Nicolas Méda a reçu la visite du directeur de l’Organisation Ouest africaine de la santé (OOAS), docteur Xavier Grespin et sa délégation, à Ouagadougou.

Le collectif des associations des commerçants et ouvriers du Kadiogo (CACOK), a tenu un point de presse ce mardi 19 septembre 2017. Il était question pour ce collectif, de donner son point de vue sur le dossier du putsch manqué du 16 septembre 2015 et sur la situation nationale.

Dans cette lettre ouverte qui nous est parvenue et signée du Dr Ablassé Ouédraogo, président du parti Le Faso Autrement, l’homme fait son mea-culpa au peuple burkinabè vis-à-vis des propos qu’il aurait tenu à savoir « je sui moaga et de confession musulmane ». Voici l'intégralité de la lettre.