L’Organisation démocratique de la jeunesse(ODJ) du Burkina Faso dans ce communiqué lance un appel à une mobilisation pour dire non à « l’impérialisme français », traduit par la visite du président français Macron au Burkina Faso. 

Le groupe musical «LACREW», a mis sur le marché du disque, un maxi baptisé «Il fait noir». L’œuvre a été présentée le jeudi 16 novembre 2017 à Ouagadougou, en présence de personnalités avertis du monde de la musique burkinabè, ainsi que des parents et amis de l’artiste.  

Le Parti Socialiste du Burkina (PS-Burkina) est le dernier né de la scène politique au pays des hommes intègres. Ce parti, naturellement d’obédience socialiste a effectué son entrée de jeu ce samedi 25 novembre 2017. Un parti qui selon son président Aboubacar Balima n’est pas de trop, mais entend trancher tranche plutôt avec la forme classique actuelle des partis et formations politiques au Burkina Faso.

Le président français doit fouler le sol burkinabè le 27 novembre 2017. Pour ce faire, l’Alliance des partis de la majorité présidentielle (APMP) était face à la presse ce samedi 25 novembre 2017. L’APMP souhaite la bienvenue à Emmanuel Macron et se réjouit de cette visite qui sera une occasion selon elle, d’évoquer certaines questions à savoir l’extradition de François Compaoré et la levée du secret-défense de la France dans l’affaire Thomas Sankara. 

L’Association pour le Développement et l’Intégration de la Jeunesse Rurale (ADIJR) de Manga a tenue sa première édition de la Nuit de l’Excellence des jeunes entrepreneurs du Centre Sud. C’est le 23 novembre 2017 qu’a eu lieu à l’hôtel Pouloumdé de Manga ce diner gala de reconnaissance, à des jeunes de la région qui se sont positivement illustrés dans le domaine de l’entreprenariat. Cette cérémonie était placée sous le patronage du président du Conseil régional du centre-sud, Dr Modeste Yerbanga. Les co-parrains Marcelin Kafando, PDG de KM Transport et Séni Congo PDG de Séni Télécom étaient également présents à cette soirée, accompagnés des chefs coutumiers de la localité. 

L’association Tous Unis pour le Combat de la Solidarité et de l’Intégration (TOCSIN) marque un arrêt à son vingtième anniversaire pour jeter un coup d’œil dans le rétroviseur. 20 ans de combat pour défendre, des intérêts des burkinabè partout où besoin s’en est senti. Cette commémoration qui a débuté le vendredi 24 novembre par un panel sur le parcours du TOCSIN S’est achevée ce samedi par une activité sportive dans les artères du centre ville de Ouagadougou.

C’est la bourse du travail de Ouagadougou qui a servi de cadre au syndicat national des administrateurs civils des secrétaires et adjoint administratifs du Burkina (SYNACSAB), pour tenir un point de presse ce mercredi 22 novembre 2017 et évoquer des sujets d’actualité les concernant. Le SYNACSAB par le biais de cette rencontre, adresse un message aux plus hautes autorités du pays qui est celui la satisfaction de sa plateforme revendicative et la démission du ministre en charge de l’administration territoriale et de la décentralisation Siméon Sawadogo.  

Le président de l’Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé a reçu ce mercredi 22 novembre 2017, en audience l’ambassadeur de la République Islamique de l’Iran au Burkina Faso Mohamadi Sharif Abolmohsen et le représentant résident de la Banque mondiale au Burkina Faso Cheicke Kanté. Au cours des différentes rencontres, il a été question de renforcement de la coopération entre le parlement burkinabè et les institutions que ces personnalités représentent. 

La Coalition des organisations de la société civile, un regroupement d’OSC du pays a convié les hommes de médias à une rencontre ce mardi 21 novembre 2017. L’objectif était d’annoncer la tenue de la 2ème édition, le 2 décembre prochain à Ouagadougou, des journées anti-impérialistes et de solidarité avec le peuple en lutte d’Afrique et aussi donner sa lecture sur l’arrivé bientôt au Burkina du président français Emmanuel Macron, à ce sujet, elle s’inscrit en contre. 

Dans cette lettre qui nous parvenue, un étudiant burkinabè, jeune doctorant, fait des critiques sur le mode opératoire observé dans le recrutement d’enseignants assistants et de chercheurs des universités et des centres de recherche au Burkina Faso. Voici son écrit.