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Dans sa conférence de presse organisée ce lundi 31 juillet 2017, la Fédération estudiantine et scolaire pour l’intégrité au Burkina Faso (FESCIBF) n’est pas allée par quatre chemins pour dénoncer le rapport final de la rencontre dite de Ouagadougou tenue les 27, 28 et 29 juillet dernier. Pour cette structure estudiantine, certains points consignés dans ce rapport ne prennent pas en compte l’intérêt général des étudiants et sont donc qualifiés de «anti-étudiants». 

Le conseil supérieur de la communication (CSC) a initié une session de formation au profit des acteurs de médias de la région du centre sur le «traitement de l’information dans un contexte de crise sécuritaire». Ce vendredi 28 juillet 2017, cet atelier a mis l’accent sur les règles régissant le secteur de la communication et les sanctions rattachées aux différents manquements dans le métier de journalisme. La notion d’information à caractère stratégique et le secret militaire ainsi que l’interaction entre médias, religion et terrorisme ont été aussi développés par et pour les participants.

Depuis le 24 juillet 2017, les agents de la police municipale de Ouagadougou expriment un sentiment de mécontentement à travers un arrêt de travail de 48 heures. La pomme de discorde entre ce corps paramilitaire et les autorités, est le niveau du recrutement dans leur discipline. Les manifestants dans leur plateforme revendicative souhaitent que le niveau d’entrée dans la police municipale soit ramené au diplôme du BEPC pour se conformer aux autres corps paramilitaires du Burkina Faso. Ils demandent purement et simplement la suppression du grade des agents de la police municipale recruté niveau CEP.

C’est la salle de conférence de l’entraide ouvrière qui a servi de cadre aux responsables et membres du syndicat national des travailleurs du trésor public du Burkina (SNTPB), qui ont tenu une conférence de presse ce mardi 25 juillet 2017. Le SNTPB est le nouveau né des syndicats et le deuxième syndicat au trésor public. C’est une structure qui regroupe selon ses initiateurs toutes les sensibilités du Trésor public et qui défend la cause des agents aux emplois non spécifiques du trésor et qui dénonce l’attitude du SATB sur les modalités de répartition du fond commun.  

L’association Buud-nooma dans le cadre du lancement de ses activités, a procédé le dimanche 23 juillet 2017, à la remise de matériel hospitalier au CSPS de Kinfangué, un des villages de la commune rurale de Komsilga. 

Le secrétaire général de la CGT-B, Bassolma Bazié dans cet écrit qui suit, lance un appel à ses camarades du mouvement syndical au pays des hommes intègres. Certainement guidé par les récents faits de l’actualité nationale concernant les revendications corporatistes dans l’administration publique, d’un œil avisé, Bassolma Bazié les invite à faire «attention aux peaux de banane politique».

Le réseau national des sans voix «Novox Burkina» a animé une conférence de presse ce jeudi 20 juillet 2017. Au cours des échanges il a était question de dénoncer le mécanisme de mise en place des commissions ad’hoc sur l’apurement du passif foncier qui crée des gorges chaudes dans certaines localités du Burkina Faso. Les conférenciers se sont aussi penchés sur la question des 40 000 logements du gouvernement burkinabè et «l’accaparement des terres» par les promoteurs immobiliers. Pour cette organisation qui Å“uvre dans le domaine du logement au Burkina Faso, il faut tout simplement que le gouvernement lève la mesure de suspension des lotissements instaurée par la transition.