Le gouvernement Japonais a offert au peuple burkinabè 5.242,02 tonnes vivres, composés essentiellement de riz. Ce don d’une valeur de 370 millions de Yen soit 1,9 milliards de francs CFA a été salué par les autorités du pays des hommes intègres. La réception des vivres a eu lieu ce vendredi 5 mai 2018 sur le site du Centre national de stockage et d’approvisionnement de Ouagadougou.

La Jeune chambre internationale (Jci) Ouaga-Synergie, dans le cadre de la réalisation de son projet dénommé «Journée du citoyen actif 2017» a tenu du 2 au 3 mai 2018 une série d’activités à l’arrondissement n° 5 de la ville de Ouagadougou. En marge toujours à ce projet, cette organisation de jeunes citoyens actifs a eu une journée de salubrité, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO). 

Dans la matinée de ce mercredi 2 mai 2018, le Cadre d’expression démocratie (CED), a tenu un point de presse. Lors de cette rencontre avec les journalistes, deux sujets étaient à l’ordre du jour : la gouvernance actuelle et le vote des burkinabè vivants à l’étranger. 

Dans le communiqué de presse qui suit, le Conseil supérieur de la magistrature se prononce sur la fermeture du Tribunal de grande instance de Djibo. C’est dans les conclusions de la première session extraordinaire de la Structure. 

L’Union pour le progrès et le changement (UPC) dans la déclaration ci-dessous interpelle le gouvernement sur la fermeture du palais de justice de Djibo. Pour le parti de Zéphirin Diabré, «la souveraineté nationale est profondément ébranlée par cette fermeture». 

Ceci est une déclaration conjointe de l’Association des Journalistes du Burkina (AJB), de la Société des Editeurs de la Presse Privée (SEP) et du Syndicat Autonome des Travailleurs de l’Information et de la Culture (SYNATIC), sur la crise constatée au Conseil Supérieur de la Communication (CSC). Pour ces trois structures, «les missions de régulation de l’information et de la communication ne peuvent pas être permanemment sacrifiées sur l’autel des querelles personnelles, des égos et de la rapacité». 

Ceci est une lettre ouverte du journaliste Adama Ouédraogo dit Damiss au Président du Faso. Accusé dans l’affaire du putsch manqué de septembre 2015, Damiss dit subir une injustice de la part du procureur général Alioun Zanré qui lui refuse une autorisation pour des soins à l’étranger. L’auteur de la lettre envisage l’extrême s’il n’est pas entendu, il dit «faire la grève du médicament jusqu’à ce que mort s’ensuive». 

Online training center (OTC) et la fondation Sciences campus ont organisé, ce vendredi 20 avril 2018 à Ouagadougou une cérémonie solennelle de remises d’attestations à une vingtaine d’étudiants qui ont passé avec brio toutes les épreuves qui leurs ont été soumises. Une fin réussie d’un séminaire de formation, troisième du genre pour ces structures qui excellent dans la formation pour la certification de spécialistes, d’experts en suivi-évaluation des projets et programmes mais aussi pour des étudiants de Master en suivi-évaluation des projets et programmes. 

Face à la presse ce jeudi 5 avril 2018, la Coalition pour la protection du patrimoine génétique africain (COPAGEN), s’oppose à l’introduction de Moustiques génétiquement modifiés (OGM) sur le sol burkinabè. Ces moustiques importés d’Italie doivent être lâchés entre le mois de juillet et celui de novembre prochain dans la province du Hoûet, selon les membres de la coalition. Une nouvelle qui choque, et pour la COPAGEN, c’est une expérience d’observation réalisée par des scientifiques qui travaillent sur le projet Target malaria au Burkina Faso.

Ce jeudi 19 avril 2017 à la primature, l’heure était à la prise de décisions pour la sécurisation des enseignants et des élèves dans la région du sahel et du nord. Ce conseil de cabinet qui a vu la présence de plusieurs ministres était présidé par le chef du gouvernement Paul Kaba Thiéba. Au terme de la rencontre, de grandes décisions ont été prises pour l’effectivité des cours dans ces parties du Burkina. 

L’Union pour le progrès et le changement (UPC), le parti du chef de file de l’opposition Zépherin Diabré réagi ici l’enlèvement par les terroristes de l’enseignant Issouf Souabo à Nassoumbou le 12 avril dernier. Le parti invite le gouvernement à mettre tout en œuvre afin de retrouver «sain et sauf».