La député Marie Laurence Ilboudo/Marchal surnommée par ses camarades militants « MPP nassara », a initié une formation au profit des membres de plusieurs associations de l’arrondissement 06 de la capitale Ouagadougou. Elles sont environs 500 femmes dans le kadiogo, subdivisées en plusieurs groupes qui verront leurs capacités renforcées en teinture dans un délai d’une semaine. D’un coût total estimé à environs 9 millions de F CFA, cette initiative est accompagnée par la société FILSA (Filature du Sahel). Le 29 décembre 2016, la cérémonie de lancement a eu lieu dans cet arrondissement avec 120 femmes, qui seront outillées pour travailler et exploiter au mieux le pagne traditionnel Faso Dan Fani.

Voici les vœux du parti « Le Faso Autrement » dirigé par le Dr Ablassé Ouédraogo

Dans cet article, la section France du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) dénonce une “justice à deux vitesses” dans l’affaire Salifou Sawadogo qui fait l’objet d’une information judiciaire pour avoir « incité des manifestants à soutenir le putsch ». Il exige également “l’ouverture d’une information judiciaire, au moins contre X, dans le cadre des débordements qui ont conduit à l’incendie de l’Assemblée nationale et des domiciles des responsables CDP »

Le président du Faso s’est adressé à la nation la nuit du 31 décembre 2016. Présentant ses vœux de l’année 2017 à tout le peuple burkinabè, Roch Marc Christian KABORE a fait le tour de l’actualité nationale et met le doigt sur la question de la sécurité.

29 décembre 2015-29 décembre 2016, cela fait un an que Roch Marc Christian Kaboré a été fait président du Faso. Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) et ses partenaires ont tenu un dialogue démocratique sous le thème : Examen des 365 jours du président Roch Marc Christian Kaboré. C’était le jeudi 29 décembre 2016 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de créer un espace d’échange entre les acteurs de la gouvernance en vue de formuler des propositions pour déboucher sur une amélioration de l’action publique. Parmi les participants, on pouvait compter des membres du gouvernement, des élus nationaux, des analystes économiques et politiques et d’autres acteurs de la vie politique nationale.

Le mardi 27 décembre 2016 et dans la capitale Ouagadougou, il a été procédé à la restitution et à la validation du rapport d’analyse des données sur l’équité de genre et gouvernance locale. Des résultats d’une année de travail dans une dizaine de régions du Burkina Faso par le Centre de suivi et d’analyses citoyens des politiques publiques (CDCAP), une analyse portée sur la prise en compte du genre dans les plans régionaux et communaux de développement au Burkina Faso. 

Dans ce communiqué de presse qui suit, l’assemblée nationale s’explique sur les un million de francs CFA perçus par les députés. Ce n’est pas une gratification pour la fête dit-elle, c’est plutôt un appui aux députés « afin de leur permettre d’assurer comme il se doit la redevabilité de l’élu vis-à-vis des populations de sa circonscription » explique le communiqué.

Un point de presse a été organisé par le groupe parlementaire du Congrès pour la Démocratie et le Progrès(CDP), ce vendredi 23 décembre 2016. Au menu des échanges, trois sujets à l’ordre du jour. Il était question pour les députés de l’ex parti au pouvoir de faire le bilan du vote de la loi pendant la deuxième session ordinaire, celui du contrôle de l’action gouvernementale et enfin donner leurs appréciations sur les travaux de la session. C’est le siège dudit parti qui a servi de cadre à cette rencontre. 

Présent à Ouagadougou, le professeur Abdoulaye Bathily, candidat à la présidence de la commission de l’Union africaine était face aux hommes de média, le mercredi 21 décembre 2016. 

Montrer l’impératif pour le Burkina Faso d’aller au pardon en s’inspirant des valeurs traditionnelles, c’est en somme l’objectif de la conférence publique qui a été initiée ce jeudi 22 décembre 2016 par la Coalition pour la Démocratie et la Réconciliation nationale (CODER). C’est l’ancien ministre et enseignant d’université, le Pr Albert Ouédraogo qui a donné cette conférence, dont le thème a porté sur une figure sacrée du royaume mossi qui est la « weemba ».