Invité de l’émission « Controverse » sur la chaîne de la Télévision Nationale du Burkina Faso, le Docteur Emile PARE, trivialement surnommé le « Chat noir du Nayala », s’est subrepticement étonné de ce que l’UPC dont le président est le chef de file de l’opposition politique burkinabè ait des accointances avec le CDP, autre parti de l’opposition et pas des moindres, car c’est de ce parti que le pouvoir politique a changé de main à la faveur d’une transition politique à mi teinte à l’issue de laquelle l’on a assisté à l’avènement du MPP suite aux élections présidentielle et législatives de novembre 2015.

Dans ce communiqué, les membres du Caucus des cadres pour le changement (3C), réaffirment leur soutien total et indéfectible à la direction de l’Union pour le progrès et le changement (UPC) et à son président Zéphirin Diabré. Pour le caucus, le président de l’UPC est visiblement l’homme à détruire par le parti au pouvoir dans la perspective des élections de 2020 en même temps que d’autres potentiels candidats comme les généraux Yacouba Isaac Zida et Djibril Bassolé.

Ceci est ne déclaration du Mouvement citoyen pour le retour des exilés politiques et la réconciliation nationale (MCREP-RN). 

François Compaoré remis en liberté

lundi, 30 octobre 2017 20:30 Écrit par

Interpellé le dimanche 29 octobre 2017 à sa descente d’avion l’aéroport de Paris, François Compaoré est remis en liberté ce lundi 30 octobre par la Cour d’appel de Paris. Il est libre de ses mouvements jusqu’à nouvel ordre.

La confirmation de la création du groupe parlementaire Union pour le Progrès et le Changement/Renouveau Démocratique (UPC /RD) le 25 octobre 2017 par la conférence des présidents du parlement, n’est pas du goût des militants de base UPC du Kadiogo. L’autre sujet et non les moindres, la vidéo du ministre de la Sécurité Simon Compaoré kalachnikov en main, chez un député frondeur UPC lui apportant son soutien, a irrité les militants lors de cette conférence de presse de ce jeudi 26 octobre 2017 au siège du parti. Pour la base UPC, cette démarche de Simon Compaoré est anti républicaine, ils exigent sa démission pure et simple.

Les déclarations de soutien se font de plus en plus croissantes pour le peuple du Togo, en lutte depuis le 19 octobre pour exiger plus de reformes constitutionnelles notamment de retour à la constitution du 14 octobre 1992 et le vote des togolais de l’étranger. Ce lundi 23 octobre 2017, une dizaine d’organisations de société civile burkinabè, dont le Balai citoyen, le MOCAD, le Centre Africa/OBOTA et bien d’autres, se joignent au peuple du Togo et interpellent la communauté internationale.

Ceci est une déclaration lue ce jeudi 19 octobre devant la presse par le sieur Pascal Bouda, un citoyen burkinabè. Au Centre de presse Norbert Zongo où il a convié les journalistes ce matin, Pascal Bouda qui dit travailler dans le secteur de la restauration, rapporte qu’il subi une pression inexplicable de la part d’individus « tapis dans l’ombres » et membres du Parti communiste révolutionnaire voltaïque (PCRV), qui en veulent à sa vie sans qu’il ne sache exactement pour quelle raison. Nous vous proposons ici, l’intégralité de sa déclaration liminaire.

Les membres du Bureau politique national de l’Union pour le Progrès et le Changement (BPN/UPC) se sont réunis en session extraordinaire le samedi 14 octobre 2017 à Ouagadougou pour échanger sur la situation politique que traverse leur parti. Ils ont reçu, de la direction du parti des informations sur la genèse de la crise, son évolution et les actions menées pour sa résolution.

Le Mouvement citoyen pour le retour des exilés politiques et la réconciliation nationale (MCREP-RN), était face aux hommes de médias pour, ce jeudi 12 octobre 2017 à Ouagadougou. Il était question pour les membres de cette structure de donner de la voix et plaider le retour au bercail de tous ceux qui ont quitté le pays suite aux évènements des 30 et 31 octobre 2014.

La coordination nationale des jeunes du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP), a tenu un point de presse ce mercredi 11 octobre 2017, au siège parti à Ouagadougou. L’objectif était de donner son opinion sur les grandes questions de la vie politique nationale. Au cours de cette conférence de presse, le souhait pour le retour de l’ancien président Blaise Compaoré au Burkina Faso.