Le gouvernement burkinabè a procédé lors du Conseil des ministres du 8 novembre 2018 à une augmentation de 75 F CFA du prix du litre du super 91 et du gasoil. Il a tenté de justifier cette mesure par « la hausse du prix du pétrole au plan international », la « situation financière de la SONABHY » et la nécessité de soutenir « l’effort de guerre ». 

Ceci est une déclaration du mouvement Balai citoyen, qui appelle les populations à sortir massivement le 29 novembre 2018, pour accompagner la CCVC dans sa marche de rejet de l’augmentation du prix du carburant. 

L’Union nord-africaine de football (UNAF) exige de la Confédération africaine de football (CAF) le retrait de l’organisation de la CAN 2019 au Cameroun, au profit du Maroc, l’un de ses membres, annonce le site d’information du quotidien algérien Compétition.

Les fédérations de football membres de l’UNAF "ont pris la décision d’écrire un courrier à la CAF, il y sera question de mettre la pression sur Ahmad (le président de la CAF) et son instance pour assurer un parfait respect du cahier des charges et une parfaite application de son contenu", rapporte Compétition sur son site internet, reprenant une lettre de l’organisation nord-africaine de football.

"Le Cameroun est en train de patauger et semble plus que jamais proche d’un retrait, c’est visiblement l’objectif ciblé par l’UNAF qui, en rédigeant ce courrier, veut mettre la pression sur la CAF pour qu’elle ne cède pas à la pression (…) en acceptant à titre d’exemple d’organiser la première CAN à 24 équipes dans des conditions difficiles et des stades à moitié finis", ajoute le site d’information algérien, précisant encore citer l’organisation des pays d’Afrique du Nord. "Cette pression, en ce moment de l’année et à quelques jours d’une réunion décisive du comité exécutif de la CAF, durant laquelle d’importantes décisions sont attendues, prouve que l’UNAF a décidé de jouer sa dernière carte pour appuyer la

candidature de secours envisagée par les Marocains", ajoute le site spécialisé. Selon ce média algérien, il est écrit dans la lettre des pays nord-africains que "les Marocains (…) veulent réussir un deuxième coup après avoir réussi celui du dernier CHAN chipé au Kenya". Le royaume peut compter sur "le soutien des Tunisiens, des Egyptiens, des Libyens et surtout de l’Algérie", ajoute la même source. La semaine dernière, des médias algériens, dont le quotidien Le Buteur, ont spéculé sur la tenue de la CAN 2019 au Maroc, pas au Cameroun, le pays choisi par la CAF pour accueillir l’an prochain le plus grand évènement du continent.

"Selon des informations en notre possession, la CAN 2019 se déroulera en juin prochain sur le sol marocain et non au Cameroun, à cause des grands retards enregistrés dans les travaux de construction et de rénovation des infrastructures", soutient Le Buteur dans son édition de mercredi dernier.

"Lors d’une dernière inspection effectuée il y a une semaine, les membres de la CAF ont constaté le retard et se sont rendus compte que le temps ne devrait pas suffire aux Camerounais", affirme le journal algérien. Le président de la CAF, le Malgache Ahmad, a évoqué la possibilité de tenir la CAN 2019 dans un autre pays, si le Cameroun n’est pas en mesure de terminer à temps les travaux préparatoires de la compétition.

 

Seneweb 

 

Réaction du Mouvement Jeunesse Démocratie et Développement (MJDD) sur la marche-meeting du 29 novembre 2018, lancée par la CCVC. 

Le Burkina Faso abritera du 30 novembre au 1er décembre prochain, la 7ème Conférence ministérielle de l’Organisation de la coopération islamique (OCI). L’information a été portée à la connaissance des hommes de médias par la ministre en charge de la femme et de la solidarité nationale Hélène Marie Laurence Ilboudo/Marchal, lors d’un point de presse ce mardi 27 novembre 2018. Cette instance réunira au total 57 Etats, dont les membres viendront se partager les expériences et savoir-faire en matière de promotion de la femme.  

Procès du putsch manqué. A la barre le matin de ce lundi 26 novembre 2018 où il comparait pour son rôle de président du Conseil national pour la démocratie (CND), lors du coup d’Etat manqué du 15 septembre 2015, le Général Gilbert Diendéré a déclaré ne pas reconnaitre les faits qui lui sont reprochés. 

Notre pays, le Burkina Faso est, depuis l’année 2016, en proie à des attaques terroristes à répétition. Les méthodes multiples et variées employées par les auteurs de ces actes barbares et l’ampleur du phénomène, mettent en mal la sécurité et la quiétude des citoyens. Le Sahel, le Nord et l’Est sont particulièrement sous l’emprise de ces hommes sans foi ni loi sous le regard impuissant de nos braves populations. 

Après une première tentative réussie, le Réseau des professionnels de la technologie de l’information et de la communication (RPTIC) rebelote cette année avec le Salon E-commerce de Ouagadougou. L’information a été portée à la presse ce vendredi 23 novembre 2018 à Ouagadougou. Cette 2ème édition va se dérouler du 29 novembre au 1er décembre prochain au Palais des sports de Ouaga 2000, avec le Rwanda comme Pays invité d’honneur. Le Salon connaitra cette année comme innovation, le premier achat en ligne au Burkina Faso. 

Initié en 1969, le « Groupe des Papas et Mamans catéchistes » (PMC), célèbre ses 50 ans d’existence au service de l’éducation des enfants chrétiens. En marge à ce jubilé d’Or des PMC, le comité d’organisation a animé un point de presse ce jeudi 22 novembre 2018 pour décliner les activités qui seront menées au cours de cette célébration. Cet évènement qui se tient en mai 2019 connaitra la participation de 4 397 PMC et 104 213 enfants catéchisés ainsi que tous les fidèles de l’archidiocèse de Ouagadougou. 

A cet hebdomadaire point de presse tenu ce mercredi 21 novembre 2018, l’Opposition politique burkinabè (CFOP), condamne et s’insurge contre l’augmentation du prix des hydrocarbures de 75 Fcfa. Pour Victorien Tougouma président du MAP et Aristide Ouédraogo président du FPR, représentant l’opposition à cette table, cette décision du gouvernement confirme « la faillite ethnique, économique et politique du régime Kaboré ». Le CFOP marque son soutien à la CCVC pour sa marche du 29 novembre prochain. L’Opposition demande au président du Faso de rendre compte de sa gestion en publiant les indicateurs sur l’économie nationale.