L’édition 2018 du Salon international de l’artisanat de Ouagadougou (SIAO) a officiellement pris fin ce samedi 03 novembre en présence de plusieurs autorités. Les meilleurs ont été primés, les résultats ont été proclamés et le comité d’organisation s’est dit satisfait.
Couverture sécuritaire réussie du SIAO, du Tour du Faso et des Récréatrales : Le Ministre de la Sécurité félicite les Forces de sécurité
lundi, 05 novembre 2018 11:08 Écrit par Communiqué de PresseLa semaine qui vient de prendre fin aura été celle d’un triple défi pour les forces de sécurité. En effet il s’est agi pour elles d’offrir une sécurité optimale aux exposants, aux acheteurs, aux coureurs, aux acteurs, aux spectateurs et aux organisateurs de trois événements majeurs qui ont drainé, dix jours durant, de grands publics :
le Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO) dont le clap de fin est intervenu ce 04 novembre 2018, le Tour International du Faso et les Récréatales.
Fidèle à ses traditions, notre pays a organisé ces trois événements de grande renommée qui se sont, in fine, déroulés dans la sérénité, la sécurité et la paix, des conditions essentielles pour leur tenue et leur réussite.
Le Ministre de la Sécurité remercie l’ensemble des personnels mobilisés pour ces différentes opérations de sécurisation et tient à complimenter les forces de sécurité pour la couverture sécuritaire réussie ayant permis à nos populations et aux amis du Burkina Faso, d’aller et venir et de vaquer, dans la tranquillité et la sécurité, à leurs occupations.
Le Ministre de la Sécurité salue le dévouement et le professionnalisme avec lesquels elles se sont acquittées de leur mission et les invite à garder ce cap afin que nous puissions, tous ensemble, relever le défi sécuritaire qui est le nôtre sur le territoire national.
Que Dieu bénisse et protège le Burkina Faso !
Ouagadougou, le 04 novembre 2018.
Direction de la Communication et de la Presse Ministérielle / M Sécu.
31è Tour du Faso : Le burkinabè Mathias Sorgho, grand vainqueur
dimanche, 04 novembre 2018 14:54 Écrit par Infobf.netLe Burkinabè Mathias Sorgho vient de remporter le 31e Tour international du Faso, dont la 10è et dernière étape a été courue ce dimanche 04 novembre 2018 sur l’avenue de l’Indépendance, à Ouagadougou.
Le jeune Mathias Sorgho a conservé le Maillot Jaune qu’il avait arraché le 25 octobre dernier des épaules du Belge Florian Smits, à la deuxième étape du Tour.
Si la dernière étape, celle de Ouagadougou a été gagnée par le Belge Timmy De Boes, «l’étudiant-cycliste» comme on l’appelle, Mathias Sorgho, reste le grand vainqueur de la compétition et remporte la somme de 2 millions de FCFA.
Le Maillot Jaune de ce Tour a également été le vainqueur du dernier Tour du Benin et du Tour du Togo.
Les pays ayant pris part à cette 31è édition du Tour international du Faso sont le Burkina Faso, le Ghana, l’Algérie, le Benin, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, la République Démocratique du Congo, l’Allemagne, la Hollande et la Belgique.
Infobf.net
Culture : Une vingtaine de personnes pour organiser le cinquantenaire du FESPACO
dimanche, 04 novembre 2018 11:57 Écrit par ALK/te/APALe Comité national d’organisation (CNO) de la 26e édition, correspondant au cinquantenaire du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) composé d’une vingtaine de personnes, est officiellement installé, a-t-on appris samedi auprès du ministère de la Culture.
Quatrième anniversaire de l’insurrection populaire: Le MPP appelle à la vigilance
dimanche, 04 novembre 2018 09:18 Écrit par Déclaration de PresseCeci est une déclaration du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) parti au pouvoir en marge à la commémoration du quatrième anniversaire de l’insurrection populaire de 2014.
Politique : Le CFOP annonce la rentrée politique du CDP
vendredi, 02 novembre 2018 10:31 Écrit par Déclaration de PresseLe Cadre de concertation du Chef de file de l’Opposition politique (CC/CFOP) a tenu une réunion ordinaire le mardi 30 octobre 2018 au siège du CFOP à Ouagadougou. Présidée par le Chef de file de l’Opposition, M. Zéphirin DIABRE, la rencontre avait les points suivants inscrits à son ordre du jour :
- La commémoration de l’an IV de l’Insurrection populaire des 30 et 31 Octobre 2014 ;
- La situation à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) ;
- La participation de l’Opposition aux travaux sur la Charte nationale des valeurs sociales burkinabè ;
- Divers.
I – An IV de l’Insurrection populaire
Les participants se sont souvenus qu’il ya de cela quatre ans, notre pays a connu une insurrection populaire, événement qui a marqué à tous points de vue notre histoire récente, et symbolisé la quête de notre peuple pour une gouvernance vertueuse. Au-delà de la revendication relative à la limitation des mandats, notre peuple s’est insurgé contre la mal gouvernance, et a décidé de tracer de nouveaux sillons, qui s’imposeraient désormais à tous ceux qui ont en charge les affaires du pays. Par sa portée historique, l’Insurrection des 30 et 31 Octobre appartient désormais à l’héritage commun de tous les Burkinabè. Mais l’anniversaire commémoré aujourd’hui ravive les douloureux souvenirs :
- celui de la trentaine de martyrs tombés au champ d’honneur, victimes d’une certaine barbarie infiltrée en son temps au sein des forces de maintien de l’ordre, dont nous saluons la mémoire et pour qui nous continuons de réclamer justice ;
- celui des nombreux blessés, dont beaucoup sont abandonnés à leur sort, et à qui nous continuons de souhaiter un prompt rétablissement ;
- celui des victimes d’officines politico- mafieuses maintenant identifiées, qui ont profité du tumulte pour régler des comptes personnels, en procédant par exemple à l’incendie des domiciles de leurs adversaires. Quatre ans après l’événement, les familles des martyrs réclament toujours justice, chose difficile à comprendre quand on sait que ceux qui nous gouvernent aujourd’hui étaient à leurs côtés sur les barricades, et sont même de ceux qui les ont appelés à sortir manifester.
La même soif de justice est présente chez de nombreux Burkinabè qui ont été victimes de la méchanceté gratuite de politiciens qui ont saisi l’occasion pour régler avec eux des comptes personnels. De manière générale, quatre ans après, c’est la déception et la désillusion qui prévaut aujourd’hui dans l’opinion. Le rêve d’une meilleure gouvernance des Burkinabè a été trahi par le pouvoir du MPP, qui se complait dans les mêmes tares qui ont entrainé l’Insurrection.
C’est au regard de cette trahison des aspirations de l’insurrection, que l’Opposition politique a décidé de se démarquer des commémorations organisées par le pouvoir du MPP, lesquelles commémorations relèvent ni plus ni moins que de l’hypocrisie.
Pour nous, la meilleure façon d’honorer la mémoire de nos martyrs, surtout de la part de ceux qui sont arrivés au pouvoir grâce à leur sacrifice, c’est de gouverner le Burkina Faso dans le sens des aspirations pour lesquelles ils sont morts.
II – Situation à la CENI
L’Opposition est préoccupée par la situation qui prévaut à la CENI et dont les réseaux sociaux font écho depuis la plénière des commissaires du mardi 30 octobre. Cette rencontre a étalé au grand jour la divergence de point de vue qui existe entre le Président de la CENI d’une part, et les 14 commissaires d’autre part, sur la pertinence de la plateforme électronique d’enrôlement que le Président de la CENI propose.
Elle montre clairement que la proposition du Président de la CENI ne rencontre pas l’assentiment des 14 autres commissaires. Cette situation conforte la position du CFOP sur la nécessité d’une collégialité et d’un surpassement du « moi » dans toute approche relative à la matière électorale au sein de cette institution. Le CFOP appelle l’ensemble des acteurs à prendre acte de cette atmosphère délétère, en situer les responsabilités et tirer, en toute lucidité, les conséquences nécessaires.
C’est l’occasion pour l’Opposition politique burkinabè de redire ici son attachement aux valeurs républicaines et aux impératifs subséquents que sont, entre autres, l’organisation d’élections crédibles, transparentes et acceptées de tous. C’est pourquoi elle insiste sur la nécessité d’un consensus autour des règles du jeu démocratique et rejette par conséquent le code électoral adopté aux forceps par la Majorité au pouvoir.
Fort de cela, l’Opposition politique invite les apprentis, pseudo-juristes et autres experts du tas à s’abstenir de toute tentative de manipulation de l’opinion publique par des interprétations erronées des dispositions pertinentes de la loi. En effet, l’Opposition politique a pris connaissance d’une déclaration intitulée "Déclaration à la plénière", non signée qui circule sur les réseaux sociaux, depuis le 30 Octobre 2018, et qui tend à faire croire que des dispositions du code électoral adopté récemment interdirait l’enrôlement des électeurs par la formule ancienne. Il n’en est rien !
En effet, aucun des articles 14, 50, 50 bis et 53, objet d’une interprétation rendue dans ledit document, n’empêche nullement que l’enrôlement tel qu’il se fait actuellement ne puisse se faire. Quant à la référence à un article 165 septiès contenu dans la même déclaration, elle n’appelle pas de commentaire particulier ; une telle disposition n’existant pas dans le code électoral.
La méthode ancienne de l’enrôlement par l’envoi d’équipes sur le terrain a toujours fait l’unanimité et n’a enregistré, à ce jour, aucune récrimination de la part des acteurs du jeu électoral. La même déclaration évoque l’article 53 dans une démarche de tromperie de l’Opinion. En effet, cet article détermine d’une part les documents pour le vote et, d’autre part, il est attributif de compétence et le siège de la détermination du mode d’enrôlement puisqu’il est ainsi libellé :
« la carte nationale d’identité du Burkina Faso ou le passeport ordinaire en cours de validité tient lieu de carte d’électeur. La commission électorale nationale indépendante prend les dispositions pratiques et techniques pour le recensement des majeurs détenteurs de la carte d’identité nationale ou du passeport. »
Enfin, contrairement à ce que ledit document veut laisser croire, le code électoral ne fait nullement obligation, pour la CENI, d’adosser l’enrôlement des électeurs à la base de données de l’ONI. Probablement encore un de ces amateurismes tendancieux dans la lecture de l’article 265 sexiès qui est ainsi libellé « Avant l’informatisation intégrale du système de l’état civil, les structures en charges des bases de données de la CNIB et des documents d’état civil mettent à la disposition de la CENI, les données nécessaires à l’opérationnalisation de la révision du fichier électoral ».
Cela a toujours été le cas depuis l’établissement du fichier électoral biométrique. En somme, aucun des articles cités n’est d’aucun secours à la volonté de l’auteur de l’écrit dans sa tentative de manipulation de l’opinion sur un mode de recensement qui serait imposé par le code électoral. La prérogative du choix du mode de recensement des électeurs échoit à la plénière des commissaires.
Et nul ne peut l’accuser de vouloir "fabriquer la loi" quand elle use de ses prérogatives. C’est pourquoi, l’Opposition politique salue le professionnalisme et la maturité de tous les commissaires de la CENI, qui ont su surpasser toute considération partisane, pour adopter des positions de sagesse, conformément à leurs prérogatives, pour le grand bonheur du peuple burkinabè.
III – Travaux de la commission sur la Charte nationale des valeurs sociales
Le Président de l’ESPOIR, M. Jean-Hubert BAZIE, a fait un compte rendu d’étape des travaux de la commission sur la Charte nationale des valeurs sociales burkinabè, au sein de laquelle il représente l’Opposition politique. Les participants ont hautement apprécié la pertinence des travaux de cette commission. Ils ont donné des orientations au représentant de l’Opposition pour la suite de sa participation aux travaux.
IV - Divers
Au chapitre des divers, le Président du CDP, M. Eddie KOMBOIGO, a informé ses pairs de la tenue de la rentrée politique de son parti le 18 novembre 2018 à la Maison du Peuple, à Ouagadougou.
En deuxième point de divers, le Président de l’ADF/RDA, Maitre Gilbert Noël Ouédraogo, a informé l’assistance de l’organisation à Ouahigouya, du 22 au 24 Novembre, du Festival Sports et Culture de la Ville de Ouahigouya (FESCO) dont il est le promoteur.
En troisième point de divers, les participants ont évoqué la comparution le 26 Octobre dernier du Secrétaire général de la CGTB, M. Bassolma BAZIE, devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou.
Il devait y répondre des faits de délit commis par voie de presse suite à une plainte déposée par des candidats au concours annulé de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS). Une délégation du CFOP, composée des Présidents du MPJD, M. Patrice Z. SAMBARE, et de l’UFDB, M. Mahamadi KOLA, avait été dépêchée pour assister à l’audience, qui a été finalement renvoyée. Pour l’Opposition politique, tout citoyen est justiciable, et nul n’est au-dessus de la loi.
Cependant, l’Opposition s’inquiète de l’instrumentalisation grandissante de la justice par le pouvoir en place, en vue de régler ses comptes avec ceux qui le gênent. L’Opposition souhaite que la justice fasse son travail en toute indépendance et impartialité. Elle apporte son soutien et ses encouragements à M. Bassolma BAZIE, et reste en alerte sur ce dossier.
Débutée à 18 heures, la réunion a pris fin à 21 heures.
Ouagadougou, le 31 octobre 2018
Le service de communication du Chef de file de l’Opposition politique
CDP section USA : Eddie Komboigo galvanise les militants de New-York
samedi, 03 novembre 2018 15:38 Écrit par Infobf.netLa section USA du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) organise, les 3 et 4 novembre 2018 à New-York, les 48h de sa section. Pour l’occasion, une forte délégation de la direction politique nationale du parti accompagnera le président, Eddie Komboïgo « himself » à cette rencontre de partage et de mobilisation des militants autour des idéaux de la social-démocratie.
Eddie Komboigo, à la tête d’une forte délégation, se rendra à New-York les 3 et 4 novembre 2018 pour les 48 heures de la section CDP/USA. Il sera à cet effet accompagné du premier vice-président et d’autres membres influents du parti.
La raison de cette mobilisation est de faire de New-York, le bastion de la mobilisation des Burkinabè de l’étranger et de leur participation aux élections de 2020 aux côtés du Congrès et la démocratie et le progrès (CDP).
Il sera question, lors de ses 48 heures de mobilisation, de sensibilisation et de formation des militants pour les joutes électorales à venir. Des techniques d’approche, de transmission de messages sur la social-démocratie et la participation des Burkinabè à l’étranger à prendre part activement à la vie du parti, même en étant loin du Faso natal seront à l’ordre du jour.
Pour le docteur en leadership des organisations, Marcel Yaméogo, secrétaire chargé des structures du parti à l’extérieur section Etats-Unis d’Amérique au sein du Bureau exécutif national du CDP, la participation du président du parti est un signe qu’il faut aller au cœur du système démocratique, l’exemple de la démocratie par excellence au monde que sont les USA pour donner le ton de la mobilisation des Burkinabè de l’étranger.
« J’invite par conséquent tous nos militants, les membres des structures et tous les sympathisants de notre parti à se mobiliser pour réserver un accueil chaleureux à notre président et pour un franc succès de nos 48 heures.
Tous au 180 West 135 Street, New York, NY, 10027 à 16heures précise pour témoigner de notre militantisme », a lancé M. Yaméogo.
Coupe du monde féminine U17 : La burkinabè Sophie Élodie SOME, désignée arbitre
samedi, 03 novembre 2018 15:33 Écrit par Infobf.netLa Fédération Burkinabè de Football (FBF) porte à la connaissance du public sportif burkinabè que notre pays sera présent à la prochaine coupe du monde du football féminin à travers son arbitrage.
En effet, une arbitre burkinabè a été désignée par la FIFA pour faire partie de celles retenues pour officier les différents matches de la coupe du monde féminine U17 qui se déroulera en Uruguay du 13 novembre au 1er décembre 2018 . Il s’agit de l’arbitre assistante Bielingue Sophie Élodie SOME .
Elle quittera le Burkina pour l’Uruguay ce 4 novembre. Le comité exécutif de la FBF se réjouit de cette désignation qui vient confirmer toutes les bonnes prestations antérieures de Mme Bielingue Sophie Elodie Somé.
En effet, elle a déjà participé aux phases finales des Coupes d’Afrique des Nations (CAN) féminines, Namibie 2014 et Cameroun 2016 . Aussi, a-t-elle participé à la coupe Algarves au Portugal en 2018. Cette désignation honore notre pays .
Le comité exécutif de la FBF traduit toutes ses félicitations et tous ses encouragements à l’arbitre Somé afin que de par ses prestations à ce rendez-vous du football mondial l’honneur et le crédit du football burkinabè en sortent renforcés.
Alexandre Le Grand ROUAMBA, porte parole de la FBF
Burkina Faso : 4 ans après l’insurrection populaire, des présidents d’OSC apprécient
dimanche, 04 novembre 2018 15:02 Écrit par Salamata NIKIEMA/Infobf.netLe Burkina Faso vient de commémorer le quatrième anniversaire de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014. En marge à cette actualité, avec des leaders d’opinion, leaders d’Organisation de la société civile, les avis sont divers et opposés quant-aux acquis de ce soulèvement populaire qui a renversé tout un régime. Si pour Abraham Badolo, président de l’Alliance pour la défense de la patrie (ADP) «rien a changé malgré cette insurrection populaire» et que les mêmes maux existent encore aujourd’hui, Boukaré Conombo le président du Mouvement Brassard Noir pense plutôt que la rupture «est consommée» d’avec l’ancien système. Quant-à Aziz Sana, coordonnateur du Mouvement ça suffit, ancien député sous la Transition, le bilan, quatre ans après est «plus ou moins mitigé». Voici leurs réactions :
L'Église Catholique met fin aux activités de quatre mouvements, associations et groupes de spiritualité à Ouagadougou
mercredi, 31 octobre 2018 17:24 Écrit par Déclaration de PresseL’archidiocèse de Ouagadougou, par un décret signé du Cardinal Philippe Ouédraogo, met fin aux activités de mouvements, associations et groupes de spiritualité à Ouagadougou.