Prévu pour ce vendredi 14 juin 2019 à 15h, le verdict du litige entre les militants du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) a été prononcé. Il a été demandé au Bureau exécutif national de convoquer un autre Congrès, en lieu et place de celui du 16 juin 2019.

(Ouagadougou, 12 juin 2019). Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré a reuni ce mercredi dans la matinée le Conseil supérieur de la Défense nationale (CSDN) en vue de faire le point de la situation sécuritaire du pays et donner des instructions y relatives.

Le ministre de la Défense nationale et des anciens combattants communique sur les attaques terroristes perpétrées à Arbinda et "villages environnants" la nuit du dimanche 9 juin dernier. Au total, 19 morts et 13 blessés, c'est le bilan de ladite attaque.

L'état de santé du Général de Gendarmerie Djibril Ypènè Bassolet préoccupe bon nombre de burkinabè. Dans cette lettre ouverte, le Congrès pour la démocratie et le progres (CDP), parti dirigé par Eddie Komboïgo, est indigné de l'affaire et lance une interpellation au Président su Faso pour un "traitement emprunt d'humanisme et de hauteur republicaine" sur le dossier.

Ceci est une nouvelle lettre ouverte que le président du parti politique "Le Faso Autrement", le Dr Ablassé Ouédraogo, écrit au président du Faso Roch Marc Christian Kaboré. Le Dr Ablassé Ouédraogo exige "maintenant" du chef de l'Etat, sa démission. Voici l'intégralité de sa lettre :

L’ancien Président du Faso Blaise Compaoré, par ailleurs, Président d’honneur du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP), s’est prononcé sur le choix du candidat du parti pour la présidentielle de 2020. La question avait été portée à sa table et tous les militants étaient accrochés à sa décision finale. Nous apprenons que le «verdict» est finalement tombé et que le BEN en a pris connaissance.

L’Association des journalistes du Burkina (AJB), dans cette déclaration, exige que les auteurs de la violence perpétrée sur des journalistes à la forêt de Kua le 26 mai dernier, présentent publiquement des excuses pour leur acte.

Le jeune lanceur d'arlertes Naïm Touré vient d'être entendu par la Gendarmerie nationale, à Ouagadougou. Répondant aux questions des pandores, l'activiste selon son recit, aurait subit deux heures d'audition.

Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), fait ici le compte rendu de sa deuxième session ordinaire de l'année, tenue les 23 et 24 mai 2019 à Ouagadougou. Il stipule que "monsieur YODA Harouna, matricule 130 281 N, magistrat, 1er grade, 3ème échelon est nommé Procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou " et ce, en remplacement de Maïza Sérémé. La rencontre a été sanctionnée par un communiqué dont voici le contenu :

Dans la polémique autour de la contruction d'un hôpital sur le site de la forêt classée de Kua à Bobo Dioulasso, des agents d'eaux et foréts, visiblement contre le projet ont déterré des bornes délimitant l'espace de la contruction. Indigné de l'acte posé, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) le qualifie d'acte "d'indiscipline caractérisé".