Le secrétaire général du Parti du travail de l’Indépendance et de la justice (PITJ) était face à la presse ce vendredi 14 juillet 2017. Soumane Touré, entouré de ses camarades, fait une «tonne» de déclarations sur des sujets brulants de l’actualité politique nationale. Il qualifie de «faux procès inique», celui de Blaise Compaoré et des membres de son dernier gouvernement devant la Haute Cour de Justice. Il appelle le Procureur Général du Faso à poursuivre le président de l’Assemblée nationale «Salifou Diallo et autres comme organisateurs de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014». Partant d’un rappel histoire de l’actualité politique du pays, voici une partie de la déclaration liminaire du parti, lue par Soumane Touré. 

Les auteurs de l’attaque du domicile familiale du président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) sont connus. Au nombre de huit (8), la bande qui opérait dans plusieurs quartiers de la ville de Ouagadougou a été mise aux arrêts et présentées à la presse ce jeudi 13 juillet 2017 par le commissariat de police de Nongr-Mâasom. 

Les membres du conseil constitutionnel ont rendu ce jeudi 13 juillet 2017, leur décision sur la loi portant composition et fonctionnement de la Haute Cour de Justice, laquelle loi avait été modifiée par l’Assemblée nationale le 04 juillet dernier.

Ceci est une déclaration d’organisation de défense des droits de l’homme, qui se prononcent sur l’affaire de la poursuite judicaire engagée contre le journaliste d’investigation Lookman Sawadogo, directeur de publication du journal Le Soir, dans l’affaire qui l’oppose aux membres de la commission d’enquête du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM). 

Le Cadre d’expression démocratique (CED), était face aux hommes de médias le mercredi 12 juillet 2017 à Ouagadougou. A cette conférence de presse, les échanges ont portés sur la justice, la loi portant partenariat public privé (PPP), et la réconciliation nationale.  

Dans la lettre ouverte qui suit, le coordonnateur de TOUBA (Tous Unis pour un Burkina Apaisé), organisation de la société civile, s’adresse au Procureur du Faso. En relatant ce qu’il sait de l’affaire de la présumé tentative d’assassinat de Inoussa Kanazoé, il invite les protagonistes à aller vers la paix parceque dit-il, «dans cette guerre d’éléphants, personne n’aura à gagner». 

Ce mardi 11 juillet 2017, le Mouvement plus rien ne sera comme avant (M/PRSCA) a organisé un point de presse. Lors de cette rencontre, le mouvement s’est prononcé sur les questions de justice et a annoncé l’exclusion de son Idrissa Nogo, précédemment coordonnateur dudit mouvement pour «fautes graves répétées depuis le 21 mai 2017».

A l’issue de la séance de travail à Ouagadougou entre le premier ivoirien Amadou Gon Coulibaly et son homologue du Burkina 07 juillet 2017 à Ouagadougou, les deux chefs de gouvernement ont animé un point de presse. 

Dans un rapport rendu public il ya quelques jours, le groupe de travail sur la détention arbitraire du Conseil des droits de l’homme des nations unies demande à l’Etat burkinabè de remettre en liberté le général Djibril Bassolé incarcéré depuis septembre 2015. Ce vendredi 7 juillet 2017, le gouvernement apporte sa réaction. 

Dans ce communiqué publié par le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), il est question du rapport de la commission dont la mission était d’enquêter sur les soupçons de malversations diverses commises au sein de l’appareil judiciaire du Burkina Faso. Les résultats des enquêtes sont succinctement présentés ici, un rapport remis le 06 juillet 2017 au CSM, qui devra déterminer les sanctions appropriées.