Incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction des armées (MACA) pour son implication dans le putsch du 16 septembre 2015, le médecin-colonel Mamadou Bamba était depuis le 18 octobre 2016 en liberté provisoire. 

La député Marie Laurence Ilboudo/Marchal surnommée par ses camarades militants « MPP nassara », a initié une formation au profit des membres de plusieurs associations de l’arrondissement 06 de la capitale Ouagadougou. Elles sont environs 500 femmes dans le kadiogo, subdivisées en plusieurs groupes qui verront leurs capacités renforcées en teinture dans un délai d’une semaine. D’un coût total estimé à environs 9 millions de F CFA, cette initiative est accompagnée par la société FILSA (Filature du Sahel). Le 29 décembre 2016, la cérémonie de lancement a eu lieu dans cet arrondissement avec 120 femmes, qui seront outillées pour travailler et exploiter au mieux le pagne traditionnel Faso Dan Fani.

Voici les vœux du parti « Le Faso Autrement » dirigé par le Dr Ablassé Ouédraogo

Dans cet article, la section France du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) dénonce une “justice à deux vitesses” dans l’affaire Salifou Sawadogo qui fait l’objet d’une information judiciaire pour avoir « incité des manifestants à soutenir le putsch ». Il exige également “l’ouverture d’une information judiciaire, au moins contre X, dans le cadre des débordements qui ont conduit à l’incendie de l’Assemblée nationale et des domiciles des responsables CDP »

Le président du Faso s’est adressé à la nation la nuit du 31 décembre 2016. Présentant ses vœux de l’année 2017 à tout le peuple burkinabè, Roch Marc Christian KABORE a fait le tour de l’actualité nationale et met le doigt sur la question de la sécurité.

29 décembre 2015-29 décembre 2016, cela fait un an que Roch Marc Christian Kaboré a été fait président du Faso. Le Centre pour la gouvernance démocratique (CGD) et ses partenaires ont tenu un dialogue démocratique sous le thème : Examen des 365 jours du président Roch Marc Christian Kaboré. C’était le jeudi 29 décembre 2016 à Ouagadougou. L’objectif de cette rencontre était de créer un espace d’échange entre les acteurs de la gouvernance en vue de formuler des propositions pour déboucher sur une amélioration de l’action publique. Parmi les participants, on pouvait compter des membres du gouvernement, des élus nationaux, des analystes économiques et politiques et d’autres acteurs de la vie politique nationale.

Le mardi 27 décembre 2016 et dans la capitale Ouagadougou, il a été procédé à la restitution et à la validation du rapport d’analyse des données sur l’équité de genre et gouvernance locale. Des résultats d’une année de travail dans une dizaine de régions du Burkina Faso par le Centre de suivi et d’analyses citoyens des politiques publiques (CDCAP), une analyse portée sur la prise en compte du genre dans les plans régionaux et communaux de développement au Burkina Faso. 

Présent à Ouagadougou, le professeur Abdoulaye Bathily, candidat à la présidence de la commission de l’Union africaine était face aux hommes de média, le mercredi 21 décembre 2016. 

Ceci est une déclaration de la Coalition Dytaniè qui s’offusque du silence constaté autour de la lumière sur la mort du journaliste Norbert Zongo et de ses 3 compagnons le 13 décembre 1998.

Ce fût une rude épreuve pour les candidats aux différents postes des élections passées de la Chambre de Commerce et d’industrie du Burkina. Beaucoup d’eau a coulé sous le pont mais ce scrutin qui était fort bien attendu par les populations a déroulé son résultat et est désormais inscrit dans le « passé » de l’actualité au Burkina Faso. Ainsi, après avoir sollicité les voix de leurs électeurs, ils ont été élus dans différentes catégories et aujourd’hui, l’heure est à la reconnaissance. El Hadj Issa Ouédraogo, président de l’association des commerçants voyageurs du Burkina Faso siège désormais dans la sous-catégorie petits commerçant. Le vendredi 16 décembre 2016 à Ouagadougou, lui et d’autres camarades élus ont organisé une cérémonie de remerciement à l’endroit de leurs bienfaiteurs. 

Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’écoute téléphonique entre Djibril Bassolé et Guillaume Soro, lors du coup d’Etat de septembre 2015 au Burkina Faso.