Tombés les armes à la main face aux terroristes le 02 mars 2018, les huit soldats burkinabè ont été inhumés ce mercredi 07 mars au cimetière de Gounghin. 

Le vendredi 02 mars 2018, aux environs de 10 heures, deux groupes armés de quatre membres chacun ont pris d’assaut l’Ambassade de France au Burkina Faso et l’Etat-major Général des Armées.

La présidente du Conseil supérieur de la communication (CSC) Nathalie Somé, est en liberté provisoire, selon une source proche du dossier.

Sous mandat de dépôt et déférée à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou depuis le 6 septembre 2017, c’est le lundi 05 mars 2018 qu’elle a quitté les locaux de la MACO, selon la source.

Natalie Somé est poursuivi dans le cadre d’une enquête sur un détournement de fonds publics pendant l’exercice de sa fonction de présidente du CSC.

 

Infobf.net 

 

Le délégué général du FESPACO, Ardiouma Soma et son équipe sont prêts pour la tenue de la 5ème édition des Journées Cinématographiques de la Femme africaine de l’Image (JCFA). C’est la substance de la conférence de presse de ce jeudi 1er mars 2018. Pour cette édition 2018, les JCFA qui se tiendront du 2 au 7 mars prochain au CENACA, à l’Institut Français et à l’ISIS et connaîtront la participation de plusieurs réalisatrices, productrices, cadreuses, monteuses, etc d’Afrique et d’Europe. Au total, ce sont 20 films qui seront projetés dans deux salles au CENASA et à l’institut Français.

Les attaques du 2 mars 2018 à Ouagadougou ont été revendiquées. Sur le site d’information mauritanien Alhakbar.info, la coalition Nusrat al-Islam wal-Muslimin dirigée par Iyad Ag Ghali, dit en être l’auteur. 

Suite aux attaques simultanées perpétrées le 02 mars 2018 à Ouagadougou à l’Ambassade de France et à l’Etat-major Général des Armées, l’enquête diligentée par le parquet de Ouagadougou fait ressortir des pertes en vies humaines et de nombreux blessés. 

Le président du Faso s’est adressé à la nation suite aux attaques terroristes perpétrées à l’Etat-major Général des Armées et à l’ambassade de France au Burkina le vendredi 02 mars 2018. Pour Roch Marc Christian Kaboré, «rien, absolument rien, ne peut justifier un tel acharnement aveugle contre l’Etat burkinabè…».

Le Burkina Faso est une fois de plus victime d’une vile attaque terroriste. C’est avec consternation et grande émotion que le Groupe parlementaire du Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) a suivi le déroulement des évènements sur l’ignoble attaque de plusieurs sites ciblés de notre capitale, ce 02 mars 2018, faisant plusieurs victimes parmi lesquelles des membres de nos forces de défense et de sécurité, ainsi que de nombreux blessés.  

 Ceci est un communiqué du Parquet près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou.

Le vendredi 02 mars 2018, notre pays a fait face à une attaque terroriste. Des individus armés ont attaqué l’Etat-major général des armées, l’Ambassade française et l’Institut Français de Ouagadougou. Le bilan fait état de plusieurs morts et blessés, ainsi que de terroristes abattus.