Affaire Yirgou au Burkina Faso: «Le Faso Autrement» demande enquêtes judiciaires et deuil national
mardi, 08 janvier 2019 10:16 Écrit par Déclaration de PresseLe Parti Le Faso Autrement suit avec indignation, consternation et stupéfaction le développement de la situation à la suite des violences meurtrières inouïes vécues dans des villages des Communes de Barsalgho, Province du Sanmatenga, région du Centre Nord et d’Arbinda dans la Province du Soum, région du Sahel et dont l’origine est l’assassinat le 1er janvier 2019 de 6 personnes y compris le chef du village de Yirgou par des individus armés non identifiés.
Crimes à Yirgou : «Inconcevable», selon le MPP
mardi, 08 janvier 2019 07:14 Écrit par Déclaration de PresseUne fois de plus, les terroristes ont endeuillé notre peuple, en déclenchant une attaque ignoble dans le village de Yirghou, localité située dans la commune de Barsalgho, dans la province du Sanmatenga. Cette attaque, dont la barbarie le dispute à la lâcheté, a été perpétrée sur le chef du village de cette localité et les membres de sa famille. S’en sont suivies des représailles qui ont ciblé la communauté peuhle de Yirghou et des environs, accusée d’avoir hébergé les assaillants.
Attaques terroristes au Burkina Faso : Un crime contre l'humanité, selon le CDP
mercredi, 02 janvier 2019 20:29 Écrit par Déclaration de PresseCeci est un communiqué, du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP.
Message du Chef de file de l’Opposition politique à l’occasion du nouvel an
mardi, 01 janvier 2019 15:05 Écrit par Déclaration de PresseTrès chers compatriotes,
Filles et fils du pays des hommes intègres,
Frères et sœurs de la diaspora,
Frères africains et amis étrangers vivant au Burkina Faso,
Peuple du Burkina Faso,
Alors que s’achève 2018 et que nous sommes en train de mettre le pied dans l’année nouvelle, l’Opposition politique est heureuse de vous souhaiter une très bonne et heureuse année 2019. A notre cher pays, le Burkina Faso, nous souhaitons une année de sécurité, de concorde, de paix et de progrès partagé.
Nos vœux, les meilleurs, à tous les Burkinabè et à tous ceux qui ont choisi de vivre avec nous au Faso. A nos vaillantes forces de défense et de sécurité qui versent leur sang sacré pour défendre et protéger notre pays, nous souhaitons une année de triomphe et davantage de combats gagnés. Aux familles des éléments de nos FDS tombés au champ d’honneur et à toutes les familles ayant perdu des membres, l’Opposition présente ses condoléances et souhaite beaucoup de courage.
A ceux qui sont malades, l’Opposition exprime ses vœux de prompt rétablissement. A nos braves paysans et éleveurs qui nourrissent la Nation, nous souhaitons une année d’abondance, et aux travailleurs du public et du privé une année de bonheur. A nos commerçants et aux hommes d’affaires qui créent et distribuent la richesse malgré un contexte difficile, nos vœux de plein succès.
A nos frères et sœurs vivant à l’étranger, l’Opposition politique souhaite une heureuse année. A la jeunesse burkinabè, patriote et volontaire, l’Opposition souhaite des opportunités qui leur permettront de se réaliser. A nos vaillantes mères, porteuses de vies et piliers de nos familles, très bonne et heureuse année.
A nos autorités coutumières et religieuses, qui ont immensément contribué à un meilleur vivre-ensemble et à la protection de valeurs sociétales, nous souhaitons une année de bénédictions.
Chers compatriotes,
Que l’on vive au Burkina ou qu’on le regarde de l’extérieur, que l’on soit de la Majorité ou de l’Opposition, que l’on appartienne ou pas à une chapelle politique, le constat qui s’impose, c’est que notre pays se porte très mal. Cela était déjà perceptible dès les premiers jours du règne du MPP. Et depuis lors, à de multiples occasions, l’Opposition n’a cessé de sonner l’alarme :
- Aux cent premiers jours du nouveau-ancien pouvoir, nous l’avons fait en dénonçant une gestion douteuse faite d’hésitations et de tâtonnements. Des esprits chagrins nous ont reprochés d’être allés trop vite en besogne. Pourtant, nous voyions avec certitude que le pilote de notre pays nous conduisait tout droit dans le mur.
- Aux 360 jours du règne du pouvoir MPP et de ses alliés, nous avions conclu à une année de perdu pour le Burkina.
- Depuis, nous avons continué les interpellations appuyées de bilans à mi-mandat, de meetings de dénonciation et de marches de démonstration confortées par une adhésion populaire éclatante.
A l’orée de l’année 2019, que dire de la situation de notre pays et de la gestion du MPP et de ses alliés ? Rien de différent, tellement les maux se suivent et s’aggravent. Depuis l’attaque de l’Hôtel Splendid et du restaurant Capuccino en janvier 2016 qui signait l’entrée des terroristes dans notre pays, la sécurité du Burkina Faso est en péril et notre intégrité territoriale menacée. La vitesse avec laquelle ces ennemis de notre peuple ont pu élargir leur champ d’action sur notre territoire national et hausser le niveau de violence de leurs attaques est une preuve consternante que nos dirigeants ont échoué sur ce terrain.
La bravoure, le courage, le dévouement, l’engagement de nos vaillants soldats ne sont pas ici en cause. Eux qui, quotidiennement, font face aux attaques multiformes en payant de leurs vies la défense de la nation. Il s’agit de la manière déplorable, sinon condamnable, avec laquelle nos autorités politiques gèrent notre sécurité et la défense du Faso. Aujourd’hui, beaucoup de Burkinabè se posent des questions sur l’avenir de notre pays.
Redire ici que nous appelons le Gouvernement à doter nos FDS en équipements conséquents ou à désigner des responsables compétents au niveau de la défense et de la sécurité, serait entonner un refrain qu’ils ont méprisé. Le Président du Faso doit savoir que les Burkinabè attendent de lui une initiative spéciale en la matière, pour éviter le syndrome afghan à notre pays.
Il est important que l’opinion sache que sur cette question importante touchant à la vie de la nation, jamais le Président du Faso n’a daigné consulter son opposition. L’Opposition politique est responsable. Elle ne peut en aucun cas souhaiter le pire pour notre pays. Mais elle n’acceptera jamais que sous prétexte d’un besoin d’union sacrée, on lui interdise de faire des observations sur la politique du Gouvernement sur cette question sécuritaire.
Autant nous continuerons à faire nos propositions et à les mettre à la disposition du Gouvernement si celui-ci le souhaite, autant nous ne manquerons pas de signaler les défaillances de cette politique sécuritaire qui conduit notre jeunesse au danger. Sur le plan politique, le MPP et ses alliés sont tellement obsédés par leur maintien au pouvoir que leur champion lui-même s’est précipité, plus de deux ans avant l’échéance de son mandat, pour déclarer sa candidature aux élections présidentielles de 2020.
Depuis lors, tous les faits et gestes du régime s’inscrivent, non pas dans une démarche stratégique pour résoudre les problèmes des Burkinabè, mais dans une série incohérente d’actions visant à consolider leur position dans la perspective de 2020. L’un des exemples de cette démarche singulière, c’est la manière dont le pouvoir en place a traité la question du Code électoral et le vote des Burkinabè de l’étranger. Alors que l’Opposition faisait preuve d’ouverture d’esprit en acceptant d’aller aux concertations organisées par le Chef de l'Etat, elle a compris très rapidement qu’elle participait au scénario d’un film dont la fin était déjà dictée à l’avance.
Pendant ce temps, les stigmates de la mauvaise gouvernance s’incrustent et s’élargissent. La corruption ne se cache plus. Forts de leur impunité, les puissants du moment ne se gênent plus pour étaler leurs biens mal acquis. La politisation de notre Administration continue de plus belle. Celle-ci est devenue la boutique du MPP qui distribue périodiquement ses cadeaux sous forme de nominations de complaisance, au détriment de patriotes valeureux et compétents qui ne demandent qu’à servir honnêtement leur pays.
La gestion clanique de notre économie achève de détruire celle-ci, alors qu’elle était déjà tombée dans une léthargie profonde. Aujourd’hui, au Burkina Faso, des pans entiers de l’économie sont en difficulté :
- L’industrie se meurt ;
- Le commerce vivote ;
- Le transport est en déclin ;
- L’agriculture stagne et l’artisanat souffre de l’image de mauvaise destination qui colle à notre pays. Alors que notre économie est en difficulté, le régime du MPP s’est illustré dans une mauvaise gestion des finances publiques qui met notre pays au bord de la banqueroute. En cherchant des remèdes à ses propres fautes de gestion, il s’est lancé dans un matraquage fiscal sans précédent en procédant à des augmentations et à des inventions de nouvelles taxes :
- Augmentation de 75 francs CFA sur le litre de carburant qui constitue en fait pour beaucoup de burkinabè une sorte de denrée de première nécessité.
- Recouvrement au forceps des taxes de résidences ;
- Réinstauration des vignettes sur les engins à moteur, etc.
Cette ponction sur le pouvoir d’achat va davantage compliquer la situation des salariés qui avaient déjà du mal à joindre les deux bouts. Elle est incompréhensible, quand on observe dans le même temps le rythme de vie de l’Etat et de ses dirigeants. Ce climat morose provoque des fermetures de sociétés, amplifie le chômage et laisse au bord de la route une jeunesse désemparée, désespérément en quête d’emploi.
Le secteur de l’éducation, socle de développement d’une nation, est traversé, lui-aussi, par une énième crise que le Gouvernement refuse de prendre à bras le corps. Lors du meeting de l’Opposition politique tenue le 29 septembre 2018, celle-ci avait mis en garde le régime du MPP contre les atteintes aux libertés fondamentales et les entraves aux libertés syndicales. Les éléments récents nous confortent dans notre position et nous invitent à la plus grande vigilance. Notre justice, sur laquelle tant de choses ont été dites depuis l’avènement du pouvoir du MPP, n’a pas convaincu de son indépendance.
Elle donne plutôt l’image d’un instrument de règlement de comptes ou de moyens de neutralisation d’adversaires politiques. La toile de fond de tout cela, et sans doute l’un des plus grands défis que notre pays doit relever, c’est la question de la réconciliation nationale. Il est clair et évident maintenant, après trois ans d’observation de leurs pratiques, que le MPP et ses alliés n’accordent pas à cette question la considération qu’elle mérite.
Pire, ils se plaisent toujours à diviser, à indexer, à dresser les Burkinabè les uns contre les autres, à instrumentaliser les querelles anciennes et à rechercher des boucs émissaires à leurs échecs. Aujourd’hui, le Burkina Faso est une nation divisée, déboussolée, où les rancœurs renaissent et où les plaies ont du mal à cicatriser.
Chers compatriotes,
L’Opposition est convaincue que seul un peuple réconcilié avec lui-même peut affronter victorieusement les défis de la vie et bâtir un avenir prospère pour ses enfants. Au regard de tout ce qui précède, face à cette situation exceptionnelle, l’Opposition politique demande à nouveau et de manière solennelle au Président du Faso, de convoquer un « forum des forces vives pour la paix et la réconciliation nationales » qui sera une occasion d’opérationnaliser le concept « Vérité-Justice-Réconciliation ».
L’Opposition politique voudrait rassurer les Burkinabè qu’elle entend leurs appels et leurs souhaits à ce qu’elle s’implique davantage pour faire sortir notre pays de la crise. Consciente de ses responsabilités et attachée à son caractère républicain, l’Opposition politique n’a jamais refusé de donner sa contribution pour la résolution d’une question touchant à la vie de la nation.
Le fait est, hélas, que le régime du MPP campe sur une arrogance qui lui interdit de solliciter la moindre contribution à l’Opposition, ou de prendre en compte les nombreux avis, suggestions et recommandations que celle-ci publie régulièrement à travers l’action de ses partis politiques, et les groupes parlementaires ou municipaux. En tout état de cause, l’Opposition politique reste fermement solidaire de la lutte du peuple burkinabè pour une gouvernance vertueuse, pour de meilleures conditions de vie, de travail et d’études, et pour un pouvoir d’achat amélioré.
Lors de la marche qu’elle a organisée le 29 septembre 2018, l’Opposition politique a eu l’occasion de passer en revue tous les différents points de la mauvaise gouvernance du MPP. Elle avait, à cette occasion, présenté les éléments d’une plateforme dont le moins qu’on puisse dire est qu’ils ont été dédaigneusement ignorés par le régime du MPP.
L’Opposition politique procèdera bientôt à l’évaluation de la réaction du Gouvernement vis-à-vis de cette plateforme. Elle invitera alors les Burkinabè à la rejoindre dans la forme d’action qui convient pour rappeler fermement à nos dirigeants leurs obligations. Chers compatriotes, La situation difficile de notre pays ne doit cultiver en nous, ni l’abandon, ni l’abattement.
Notre vaillant peuple est résilient et il sait que la lutte finit toujours par payer. Il trouvera toujours à ses côtés une opposition politique déterminée, engagée et combative. Ensemble, nous pouvons démontrer à la face du monde que le Burkina Faso sait prendre son destin en main lorsque la situation l’exige.
Bonne et heureuse année à toutes et à tous !
Que Dieu bénisse le Burkina Faso !
Ouagadougou, le 31 décembre 2018
Le Chef de file de l’Opposition politique,
Zéphirin DIABRE
Attaque terroriste dans le Centre-Nord du Burkina : Un chef coutumier et 5 autres personnes tuées
mardi, 01 janvier 2019 15:03 Écrit par Infobf.netSelon certaines sources, le village de Yirgou dans la Province du sanematenga a été attaqué très tôt dans la matinée de ce mardi 1er janvier 2019.
Des individus armés, non encore identifiés auraient fait irruption dans le village tuant ainsi le Chef du village, son fils et quatre autres personnes.
Après avoir exécuté les six personnes, les assaillants seraient partis avec une personne dans leur fuite.
C’est la constellation dans la localité et la communauté Peulh seraient la cible des populations locales. Nous y reviendrons.
Infobf.net
Politique : Le CFOP tire à boulets rouges sur le pouvoir en place
mardi, 18 décembre 2018 19:41 Écrit par Michael TOUGRI/Infobf.netAprès avoir salué la mémoire du journaliste Norbert Zongo et la commémoration du 20è anniversaire du crime de Sapouy le 13 décembre dernier, l’Opposition politique burkinabè est entrée dans le vif de sujet pour lequel elle a convié la presse ce mardi 18 décembre 2018 à son siège. A ce traditionnel mardi du CFOP, c’est Adama Séré, président du Rassemblement des écologistes du Burkina Faso (RDEBF), Mamadou Kabré président du Prit Lamaya et Yumali Lompo, président du Parti national des démocrates sociaux (PNDS), qui ont animé la conférence.
Réduction des risques liés à la consommation de la drogue : Place et rôle des journalistes dans le processus
mardi, 18 décembre 2018 19:32 Écrit par Estelle DOFINI / Infobf.netL’ONG Initiative Privée et Communautaire pour la santé et la riposte au VIH/SIDA au Burkina (IPC), a initié un atelier de formation au profit des journalistes les 14 et 15 décembre 2018 à Ouagadougou. Cette formation a concerné les stratégies de Réduction des Risques (RDR) liés à l’usage de la drogue au Burkina Faso.
Le président du Faso échange avec ses compatriotes de France
mardi, 18 décembre 2018 11:48 Écrit par Déclaration de PresseLe président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a rencontré en fin d’après-midi à l’ambassade du Burkina Faso à Paris, la communauté burkinabè vivant en France. Présent dans ce pays pour une visite officielle, le président Kaboré a échangé avec ses compatriotes sur leurs préoccupations et les sujets touchant la vie de la Nation. L’ambassadeur du Burkina Faso en France, Alain Francis Gustave Ilboudo et le représentant du Conseil supérieur des Burkinabè de l’extérieur (CSBE), Antoine Yougbaré, ont salué l’initiative du chef de l’Etat d’échanger avec la diaspora burkinabè en France.
Selon le président du Faso, son séjour en France s’inscrit dans le cadre d’une visite officielle au cours de laquelle des questions comme la sécurité et le G5 Sahel seront discutées avec les autorités françaises. Le chef de l’Etat a indiqué aux Burkinabè vivant en France que la situation nationale est marquée par la question sécuritaire avec des attaques terroristes dans les régions du Nord, du Sahel et de l’Est. Ces attaques, a ajouté le chef de l’Etat, ont entrainé la fermeture de plus de 600 écoles dans les régions concernées d’où l’urgence d’agir en vue de venir à bout de ce fléau.
L’espoir est permis car selon le président du Faso, « Il y a des combattants terroristes qui ont écrit pour dire qu’ils souhaitent déposer les armes et contribuer à une solution. Nous sommes à la recherche de solutions parce qu’il nous faut un centre de déradicalisation. Mais à partir du moment où cette bonne volonté est engagée, il faut que nous saisissions la main tendue et travailler avec ces derniers pour plus d’informations dans la lutte ».
La réforme des rémunérations des fonctionnaires a été aussi abordée par le président du Faso avec les Burkinabè vivant en France. Pour lui, cette réforme était nécessaire pour une question d’équité entre les agents de la fonction publique. Il a précisé que le gouvernement a décidé de rationaliser le Fonds commun, servi à certains fonctionnaires, et de mettre en place des mesures d’accompagnement pour les agents qui ont pris des engagements vis-à-vis des banques.
L’affaire Thomas Sankara, Norbert Zongo, le procès du putsch, le vote des Burkinabè de l’extérieur, l’adoption de la nouvelle Constitution ont été évoqués par le président du Faso. La hausse des frais d’inscription des étudiants africains en France, les exilés « politiques » et la réconciliation nationale ont été les préoccupations majeures exposées au chef de l’Etat.
Pour la question des frais de scolarité, le président du Faso a promis échanger avec son homologue français, Emmanuel Macron, parce que cette mesure de hausse, selon lui, est contre les engagements pris dans le cadre de la formation des étudiants africains en France. Evoquant le sujet des exilés politiques, le chef de l’Etat a été clair. « Personne n’a chassé personne du pays, ce sont les gens qui ont choisi de fuir leur pays. Celui qui veut rentrer qu’il le fasse et s’il a un problème avec la justice qu’il parte répondre ».
Direction de la communication de la présidence du Faso
Fête de l’indépendance au Burkina : Des festivaliers se prononcent sur le thème
mardi, 11 décembre 2018 17:58 Écrit par Estelle DOFINI / Infobf.netA l’occasion de la célébration du 58e anniversaire de l’accession à l’indépendance du Burkina Faso ce 11 décembre 2018, des festivaliers présents sur les lieux à Manga se sont prononcé sur le thème « bonne gouvernance et équité sociale pour une nation forte et prospère ».
Célébration de l’Indépendance du Burkina Faso : Manga relève le défi
mardi, 11 décembre 2018 16:09 Écrit par Estelle DOFINI / Infobf.netLe mardi 11 décembre 2018, la région du Centre-sud a vibré au rythme de la célébration de la fête nationale tournante, l’accession à l’indépendance du Burkina Faso. Et c’est Manga, « la cité de l’épervier », qui a abrité la cérémonie commémorative de cette année. Exécution de l’hymne national, revue des troupes, défilé civil paramilitaire et militaire, voici ce qui a ponctué la cérémonie, sous le regard du Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré.