La brigade de gendarmerie de la ville de Kongoussi a été la cible d’une attaque d’hommes armées dans la nuit d’hier mercredi 06 à aujourd’hui jeudi 07 février 2019. Deux civils auraient été tués lors des tirs.

Le président du parti politique « Le Faso Autrement », le Dr Ablassé Ouédraogo, à peine rentré de Madagascar où il a pris part à l’investiture du tout nouveau Président, livre ici dans cette déclaration, son appréciation du gouvernement nouvellement mis en place avec à sa tête Christophe Marie Joseph Dabiré. « Pléthorique », un « non-évènement », voici comment réagi le fils de « Dabaré » qui fini par demander au Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré, de « libérer les burkinabè » en démissionnant de son poste. Lisez plutôt.

Ce sont au total six(6) partis et formations politiques burkinabè qui remplissent en cette année 2019, les critères d’obtention du financement de l’Etat burkinabè pour leurs activités hors période de campagne. Cette subvention qui s’élève à 500 000 000 de FCFA est au titre de l’année 2018. Ces partis et formations politiques ont reçus leurs chèques ce mardi 29 janvier 2019. Voici la liste :

- Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) : 218 500 000 FCFA

- Union pour le progrès et le changement (UPC) : 129 300 000 FCFA

- Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) : 83 150 000 FCFA

- Nouvelle alliance du Faso (NAFA) : 26 150 000 FCFA

- Union pour la renaissance /Parti sankariste (UNIR/PS) : 23 600 000 FCFA

- Alliance pour la démocratie et la fédération/ Rassemblement démocratique africain (ADF/RDA) : 19 300 000 FCFA.

En rappel, il faut noter que selon la loi, seuls quelques partis ou formations politiques pourront chaque année bénéficier de cette subvention de l’Etat. En effet, ce financement est accordé à ceux qui ont réussi à avoir au moins 3% des suffrages exprimés aux dernières élections législatives.

 

Infobf.net

 

Selon ce communiqué officiel de l'Etat Major Général des Armées du Burkina, les élements du Groupement de Forces pour la sécurisation du Nord (GFSN) et la Brigade territoriale de Gendarmerie, à Nassoumbou, ont été la cible d'une attaque d'individus armées (300 à 400 personnes) ce lundi 28 janvier 2019 très tôt dans la matinée. Le bilan fait état de 4 morts et 5 bléssés cotés FDS.

Ce samedi 26 janvier 2019, à Ouagadougou, le Bureau politique national (BPN) du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP) a tenu sa 63ème session ordinaire. Une rencontre au cours de laquelle, le bilan des actions menées en 2018 a été rendu public. Les militants qui se disent satisfaits de ce bilan ont présenté leurs vœux de nouvel an au président du parti Eddie Komboigo et à sa famille, après l’avoir félicité pour le travail qu’il a abattu depuis sa réélection à la tête du parti.

Le géologue canadien, Kirk Woodman, qui avait été enlevé dans la nuit du 15 au 16 janvier 2019  par des individus non identifiés, a été retrouvé mort le mercredi 16 janvier 2019 à Beiga- Salmoussi, annonce ce communiqué signé par le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération.

Le massacre commis à Yirgou les 1er et 2 janvier dernier continu de faire des vagues, des remous et crée l’indignation chez les burkinabè. L’ancien parti au pouvoir le CDP, dans cette déclaration, condamne «avec vigueur» ce drame et appelle les fils et les filles du pays, à l’union sacrée.

Citoyens du Burkina Faso, malheureusement nous remarquons avec désolation ces derniers temps, une évolution macabre de ce qui se présente progressivement comme des affrontements très dangereux au détriment de la dignité et du caractère précieux et sacré de la vie humaine sur le territoire national.

L’Union nationale des jeunes du parti du lion, l’UPC, annonce qu’elle prendra part à la marche de protestation du samedi 12 janvier prochain initiée par le Collectif contre l’impunité et la stigmatisation des communautés. L’information a été donnée ce jeudi 10 janvier 2019 au cours d’un point de presse tenu au siège du parti. En présence du président du parti Zéphirin Diabré et ses proches collaborateurs, les jeunes ont dit être indigné « de la manière dont l’affaire Yirgou est géré par le pouvoir », ils réclament justice.

Le drame sans précédent de Yirgou, pour lequel le chiffre gouvernemental de 46 morts se dispute à d'autres chiffres avoisinants sinon dépassants la centaine, interpelle la conscience nationale et internationale.