Dans le cadre de la commémoration des trois ans de l’insurrection populaires des 30 et 31 octobre 2014, l’Alliance des Partis de la Majorité Présidentielle (APMP) a tenue une conférence publique ce mardi 31 octobre 2017, au Conseil burkinabè des chargeurs. C’est autour du thème «l’insurrection populaire, trois ans après, bilan et perspective: consolidations des acquis» que le débat a été planté avec plusieurs communications portées par trois panelistes. L’APMP, composée de 31 partis et formations politiques est le groupe de politique qui accompagne la mise en œuvre du programme du président Roch Marc Christian Kaboré.

A ce troisième anniversaire de la commémoration de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, plusieurs acteurs politiques et de la société civile ont brillé par leur absence. Toutefois, cette célébration s’est déroulée dans la sobriété comme le voulaient les parents des victimes. Un vœu était sur toutes les lèvres et c’est celui d’une justice pour les victimes tombées. Du coté des certains leaders d’OSC tels Marcel Tankoano du M21 et Safiatou Lopez du CCNOSC, c’est la déception, ils estiment être victime de liquidation. 

Ceci est une déclaration de l’Union pour le Progrès et le changement (UPC), en marge à la commémoration les 30 et 31 octobre 2017 des 3 ans de l’insurrection populaire. Le parti dit s’en démarquer.

Le Ministère de la défense nationale et des anciens combattants a lancé ce lundi 30 octobre 2017 à Ouagadougou, sa 6ème édition de la rencontre biennale des attachés de défense. Cette rencontre permettra aux ambassadeurs militaires, de prendre connaissance des évolutions au niveau nationale et de capitaliser les expériences, les pratiques et les orientations. Durant six jours, les participants seront informés sur les réalités du pays, afin de réussir leurs missions. 

Conférence publique ce samedi 28 octobre 2017, à Ouagadougou sur le tribunal international Monsanto, tenu les 14 et 16 octobre 2016 à la Haye au Pays-Bas. C’est une initiative du Collectif citoyen pour l’agroécologie (CCAE), qui a tenu à faire une communication sur la restitution des résultats des travaux de ce tribunal. Les échanges ont portées sur trois axes à savoir, le tribunal international Monsanto, le crime d’écocide et la projection d’un film dont le titre évocateur est «Bientôt dans vos assiettes, de gré ou de force».

Du nouveau dans le paysage médiatique du Burkina Faso, de l’Afrique et même du monde, peut-on dire. « Le Quotidien Numérique d’Afrique », est un média né au sien de la rédaction du magazine « Sciences-campus info » en 2016. Sa première parution le 21 avril de la même année fait qu’il compte à ce jour 554 numéro en termes de parution. Cette nouvelle plateforme de publication en ligne au Burkina Faso a été officiellement présentée au public et lancée ce jeudi 26 octobre 2017 au siège de l’organe à Ouaga2000.

Le ministre de la Culture des Arts et du Tourisme Tahirou Barry démissionne du gouvernement par cette lettre qu’il a publié sur sa page Facebook. Tahirou Barry claque la porte du gouvernement en faisant des déclarations torrides. «J’en ai assez» ou encore «ma déception est profonde», sont ses expressions.

Ce mercredi 25 octobre 2017 à débuté l’audience de confirmation des charges contre le général Gilbert Diendéré et 106 autres personnes, accusés dans le cadre du coup d’Etat manqué du 16 septembre 2015. La requête des avocats de la défense, qui vont sur le principe que tous les prévenus sont sur le même dossier donc les charges d’accusation devraient être lues en présence de tous, n’a pas été acceptée par le tribunal. Les mis en cause se verront notifier leurs charges individuellement, ainsi en a décidée la chambre de contrôle.

En prélude de la commémoration des trois ans de l’insurrection populaire des 30 et 31 octobre 2014, l’Unité d’action syndicale (UAS)/Burkina Faso était face aux hommes de médias ce mercredi 25 octobre 2017. Au cours de cette rencontre et dans les locaux de l bourse du travail de Ouagadougou, trois sujets étaient à l’ordre du jour, ce sont la gouvernance politique, économique et sociale, la vie chère et l’insécurité grandissante. 

Le ministère de la santé vient de bénéficier ce lundi 23 octobre 2017, de cinq couveuses de la part de citoyens. Ce geste de ces donateurs très bien connus dont la journaliste Raïssa Compaoré et le communicateur Alain Traoré dit Alino Faso, vise à contribuer à faire face au déficit en couveuses dans les formations sanitaires du Burkina Faso et du même coup sauver les bébés prématurés. Une action vivement saluée par le représentant du ministre de santé, le Dr Mété Bonkoungou qui a réceptionné le don.