Publiant l'information lui-même sur les réseaux sociaux, Naïm Touré indique que son audition a été sous instruction de l'ancienne présidente du Tribunal de grande instance de Ouagadougou Maïza Sérémé, suite à une plainte déposée par le Chef d'Etat-Major Général des Armées, le Général Moïse Minoungou.
Soupçonné de participation à une entreprise de "démoralisation des Forces armées nationales en temps de paix", le "lanceur d'alertes" comme il se fait appelé, parle plutôt d'acte "de peur et d'intimidation" et de la volonté du pouvoir à confisquer sa liberté de s'exprimer.
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