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Nouvelle attaque meurtrière dans la région de l’Est du Burkina Faso, ce samedi matin, 15 septembre 2018. 

Le samedi 8 septembre 2018, les femmes du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP), à travers une conférence publique ont échangé sur le nouveau code électoral voté à l’Assemblée nationale. Cérémonie présidée par le ministre en charge de la culture Abdoul Karim Sango, elle a eu lieu dans la salle de conférence du Conseil supérieur des chargeurs (CBC) à Ouagadougou. 

Le Président du Faso a présidé ce samedi 8 septembre 2018 une rencontre de haut niveau, une session extraordinaire du Conseil supérieur de la Défense nationale.

De retour de la Chine, Roch Marc Christian Kaboré, à examiner la situation sécuritaire du pays avec les hauts gradés de l’armée. La situation particulière de l’Est du Burkina a été le sujet le plus préoccupant. engagement à défendre la patrie seront sans faille».

«Pour la défense de la patrie», Roch Kaboré a salué la mémoire des Forces de défense et de sécurité (FDS) qui sont tombées sous les balles assassines de l’ennemi. Après cinq heures de travail, le chef de l’Etat a qualifié la situation sécuritaire de « vaste opération de déstabilisation du Burkina Faso à travers des actions de harcèlement des FDS sur les frontières.

Roch Marc Christian Kaboré a invité le peuple burkinabè à apporter son soutien aux FDS. «Il est important que nous reprenions l’initiative sur l’Est », a affirmé le président du Faso.

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A Tankoualou, village situé à 80 Km de Gayiri dans la région de l’Est et à environs 150 km de la ville de Fada Ngourma, le Poste forestier a été attaqué et incendié dans la nuit du jeudi 06 au vendredi 07 août 2018 et le domicile du préfet saccagé.

Selon des sources concordantes sur les lieux, ce seraient l’œuvre d’individus armés, non encore identifiés et se déplaçant à moto.

Après Tankoualou, ces hommes armés ont également dans la même nuit, incendié la Mairie et le Service de l’environnement de Bartiébougou, situé dans la même localité, zone frontalière avec le Niger.

Les attaques, de natures terroristes sont devenues légions dans la région de l’Est du Burkina Faso, le 06 août dernier, le directeur régional de la Police, dans une note adressée à sa hiérarchie tirait sur la sonnette d’alarme à cet effet, reste à voir la réaction des autorités.

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Le ministre de l’éducation nationale, entouré de ses proches collaborateurs était en conférence de presse ce vendredi 07 Août 2018 à Ouagadougou. Stanislas Ouaro a fait le point de la tournée d’inspection que son département a réalisé sur les établissements d’enseignement privé au Burkina Faso. Ce bilan d’inspection révèle que 649 établissements ne sont pas conformes aux normes nationales requises en la matière. 

La région de l’Est du Burkina Faso est depuis quelques mois sous le courroux d’individus non encore identifiés, qui opèrent des attaques meurtrières dont la plus récente est celle de Pama le 28 août 2018 qui a fait 8 morts dans les rangs de nos FDS. Assistant impuissamment au dictat des forces sombres dans la zone, le Directeur régional de la Police a décidé de rompre le silence et de s’adresser à sa hiérarchie. Sans détours, le Commissaire Divisionnaire de Police dépeint une situation sécuritaire très délétère.

 Voici la plainte portée par Léonce Koné, Me Hermann Yaméogo, Adama Ouédraogo, dit Damis et Minata Guelwaré, tous accusés dans le cadre du putsch manqué du 15 septembre 2015 au Burkina Faso. Cette plainte est formulée contre trois juges d’instruction et les membres du Parquet militaire.

 Dans cette déclaration qui suit, le Mouvement burkinabè des droits de l’homme et des peuples (MBDHP) fait une lecture de la situation nationale et interpelle le gouvernement burkinabè.

Dans ces colonnes qui suivent, Maître Paul Kéré, Avocat au Barreau du Burkina Faso, donne son opinion sur l’arrestation, le 28 Août 2018, de Safiatou Lopez.