Après sa prise de fonction officielle, le 8 août dernier, Mathias Tankoano, accompagné de ses huit conseillers sont venus s’entretenir avec le Président du Faso sur les mesures à même de permettre au régulateur des médias burkinabè de repartir sur de nouvelles bases, et travailler dans la sérénité.
Le nouveau président du CSC a l’ambition de placer son institution dans le concert des institutions républicaines, et remplir convenablement ses missions pour le bonheur des populations et le renforcement de la démocratie.
Pour ce faire, lui et ses conseillers ont besoin de « l’accompagnement, des conseils et des orientations » du Président du Faso, a confié Mathias Tankoano, qui dit avoir obtenu le soutien du chef de l’Etat, garant du bon fonctionnement des institutions du pays.
Après une profonde crise interne qui a plombé son fonctionnement, le Conseil supérieur de la Communication repart de bon pied avec un président qui prône depuis sa prise de fonction officielle «la compréhension, l’acceptation mutuelle et l’accompagnement ».
Direction de la communication de la Présidence du Faso