Le bilan macabre s’alourdit. De jour en jour. Le Burkina Faso et les Burkinabè ne doivent toutefois pas céder au fatalisme. Ce pays et ses habitants ont toujours  su faire preuve d’une extraordinaire capacité de résilience quelque soient les adversités. Le terrorisme ne doit point nous faire courber l’échine ou oublier nos valeurs qui fondent notre identité. Au regard de la recrudescence des attaques, il appartient aux différents acteurs de prendre la pleine mesure de la menace pour une thérapie appropriée. Les communautés sont acculées dans leur dernier retranchement. Plus de tergiversations. La résistance populaire organisée s’impose. Le temps presse. 

Le président du Faso, Roch Marc Christian a fait sa déclaration en début d’après-midi de ce mardi, à la tribune des Nations unies, dans le cadre du débat général de la 74e session ordinaire de l’Assemblée générale.

Ceci est une déclaration conjointe, signée par une vingtaine d'Organisations de la société civile du continent africain. Elles condamnent les agressions xénophobes observées il ya quelques semaines en Afrique du Sud, terre du Prix Nobel de la Paix, Nelson Mandela.

La marche-meeting de l’Unité d’action populaire de ce 16 septembre 2019 a été dispersée dans les rues de Ouagadougou par la Police nationale. Bassolma Bazié et ses camarades ont été empêchés de manifester dans la rue, pour ne se contenter que du cadre de la Bourse du travail, pour s’exprimer. A peine démarrée, la marche a été dispersée à coup de gaz lacrymogène. 

Des organisations syndicales en coalition avec des OSC projettent battre le pavé le lundi 16 septembre 2019 sur l'ensemble du territoire national, pour exiger du gouvernement, la satisfaction de leur plateforme minimale. Dans ce communiqué qui nous est parvenu, le comité exécutif national de ce regroupement appelle les burkinabè à respecter la grève de 24h et à se mobiliser pour cette marche-meeting.

La Coordination des associations professionnelles et syndicats de l’économie informelle pour la paix sociale au Burkina Faso (CAPSEI), à tenu le mercredi 11 septembre 2019, une conférence de presse à Ouagadougou. Dans son message lu à la presse, la structure appelle les commerçants à « se démarquer de toute action visant à soutenir les manifestations des organisations syndicales du secteur public».

Il y a eu lieu Un affrontements entre les djihadistes et Dozos dans le département de kain à la frontière du Mali au environ de 16 heures le 08 septembre 2019 à 4 km de kain.

Un groupe de 20 djihadistes s’en est pris à un groupe de 6 Dozos. Malheureusement nous avons perdu un membre du nom de Warma Abdoulaye et un blessé evacué à Ouahigouya.

Du Côté des djihadistes, les Dozos on pu abattre 4 dont un chef. Au nom de la confrérie des Dozos par ma voix je présente mes sincères condoléances la famille sa faille et prompt rétablissement au blessé.

Cela fait déjà plusieurs attaques contre les Dozos. Restez mobilisé et vigilant.

Dieu protège le Burkina

Yacouba Drabo le Bonck

Coordonnateur de la Confrérie des Dozos Sans Frontières

 

 

Infobf.net

 

Un soldat burkinabè a été tué et deux autres blessés jeudi, dans une embuscade à Diomsogui dans le département de Kelbo (Soum, Nord), au cours de laquelle cinq terroristes ont été neutralisés, a appris l’AIB auprès de sources sécuritaires.

Selon les mêmes sources, les Forces de défense et de sécurité ont récupérer de l’armement et un important lot de matériel.

Le Burkina Faso fait face depuis avril 2015, à des régulières attaques terroristes.

Le 19 août dernier à Koutougou (Soum), l’armée a perdu 24 soldats et 40 terroristes ont été neutralisés.

AIB

C’est parti pour les épreuves écrites des examens de rattrapage du CEP, BEPC et du Baccalauréat, pour l’année scolaire 2018-2019. A la tête d’une délégation de son département, le ministre en charge de l’éducation nationale, le Pr Stanislas Ouaro, a procédé ce mardi 03 septembre 2019 au lancement officiel de ces épreuves au Centre communal « A » de la ville de Kaya.

Comme annoncé, le tribunal militaire a délibéré ce lundi 02 septembre 2019 sur le procès du putsch manqué de septembre 2015. Les peines requises contre les deux généraux, Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé sont respectivement de 20 ans et 10 ans de prison ferme. Certains ont été acquittés pour « faits non constitués ».