Internationale

Internationale (71)

Le Mali annonce avoir déjoué un coup d'État dans la nuit du 11 au 12 mai 2022. C'est à travers un communiqué rendu public le 16 mai que le ministre en charge de l’Administration territoriale et de la décentralisation, porte-parole du gouvernement, le Colonel Abdoulaye Maïga, a indiqué qu'un " groupuscule d'officiers et de sous-officiers anti-progressistes maliens" a tenté de renverser le pouvoir en place, mais sans succès. Ils souligne que ces militaires étaient soutenus par un État occidental.

Ce 19 mai 2021 marque le 31e anniversaire de l’assassinat de Dabo Boukary, alors étudiant en 7e année de médecine à l’Université Joseph Ki Zerbo. À cette occasion, les étudiants au sein de l'Union générale des étudiants du Burkina (UGEB) ont organisé un meeting en son honneur au sein de ladite université. Il a été question de réclamer justice et lumière sur cet assassinat.

Pahimi Padacké Albert du RNDT-Le Réveil a été nommé Premier ministre au Tchad.

Le Royaume du Maroc informe les citoyens burkinabè détenteurs de passeports ordinaires, de la suppression de visa d’entrée sur son territoire. Une information qui sonne comme un aboutissement d'un long processus et qui soulage les citoyens des deux Etats. 

C’était un secret de polichinelle, c’est désormais public. Guillaume Soro est candidat à la présidentielle ivoirienne de 2020.

Les responsables du Front national pour la défense de la Constitution se sont réunis lundi 7 octobre et ont appelé à des manifestations pour contrer les velléités du chef de l’État guinéen de se présenter pour un troisième mandat en 2020.

Accompagné de plusieurs personnalités du parti de Laurent Gbagbo, le secrétaire général du Front populaire ivoirien (FPI), Assoa Adou a rencontré le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, jeudi à Daoukro, confirmant le rapprochement entre les deux formations. Cette rencontre fait suite au déplacement de plusieurs personnalités du PDCI à Bruxelles.

L’armée soudanaise a annoncé ce jeudi 11 avril 2019 avoir pris le pouvoir et mis aux arrêts le président Omar El Béchir. Ce dernier a été destitué et il est annoncé la création d’un Conseil de transition militaire pour entamer l’intérim du pouvoir.

En République Démocratique du Congo, la Ceni a proclamé très tôt ce jeudi matin (3h), les résultats provisoires de l’élection présidentielle du 30 décembre et c’est l'opposant Félix Tshisekedi qui est élu président.

Sur les 21 candidats qui étaient en lice, Félix Tshisekedi arrive donc en tête (38,57%), devant Martin Fayulu candidat de la coalition d'opposition Lamuka (34,8%) et le candidat de la coalition au pouvoir FCC Emmanuel Ramazani Shadary (23,8%).

Après l'annonce des résultats, des congolais sont descendus dans la rue exprimer leur joie pendant que Martin Fayulu crie au « tripatouillage », pour lui, il s’agit d’une « escroquerie électorale ».

Ce dernier et la France demandent à l’Eglise Catholique de publier ses résultats.

 

Infobf.net

 

Des jeunes officiers de l’armée gabonaise ont pris d’assaut la télévision nationale du pays le lundi 7 janvier pour lire un communiqué annonçant « prendre leur destin en main » face au régime du président Ali Bongo.

Les insurgés ont pris le contrôle des lieux vers 4h du matin, heure locale et ont lancé un appel à la jeunesse, aux responsables des mouvements de jeunes, à leurs frères d’armes, aux organisations de la société civile, ainsi qu’aux responsables des partis politiques.

Le message était de refuser « la mise en scène organisée par l’entourage du président », avec un président lui-même « malade et dépourvu de plusieurs de ses facultés physiques et mentales », selon les mutins. Le communiqué est lu par le lieutenant Ondo Obiang Kelly, qui s’est présenté comme le « président du Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité du Gabon (MPJFDS) ».

Tout en annonçant la mise en place d’un « Conseil national de la restauration », les mutins disent s’offusquer du message à la nation prononcé par le président Ali Bongo dans la nuit du 31 décembre 2018 « Le message du chef de la nation visant à clore le débat sur sa santé a plutôt renforcé les doutes sur sa capacité à assumer la fonction de président de la République », ont-ils déclaré.

Le MPJFDS dit avoir « décidé ce jour de prendre ses responsabilité afin de mettre en déroute toutes les manœuvres en cours visant la confiscation du pouvoir par ceux qui dans la nuit du 31 août 2016 ont lâchement fait assassiner nos jeunes compatriotes avec le soutien des institutions illégitimes et illégales ».

Mais quelques heures plus tard, le gouvernement, à travers le ministre de la communication, annonçait que la situation était « sous contrôle » et que les mutins sont aux arrêts. Internet a été coupé, la situation reste confuse.

Depuis le 24 octobre 2018, Ali Bongo hospitalisé suite à un grave accident de santé (AVC), est absent du pays mais ses proches ont jusque là, conservé le pouvoir.

 

Infobf.net