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Attaque terroriste meutrière sur les positions des forces armées combattantes, 51 soldats viennent de tomber les armes à la mains. 

Pris au piège par un groupe d'hommes armés, une cinquantaine de nos soldats burkinabè sont tombés dans l'attaque terroriste entre Deou et Oursi le 17 février 2023, voici le message du Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim Traoré, à l'annonce du bilan ce lundi 20 février. â€¹â€¹ Notre armée a été victime d'une attaque de grande ampleur le vendredi 17 février 2023 dans la zone d'Oursi et de Deou dans la région du Sahel. En dépit de la vigoureuse résistance et la riposte engagées par nos forces combattantes, nous enregistrons des pertes en vies humaines. Dans cette dure épreuve, j'exprime, en mon nom propre et celui du gouvernement, la compassion de la Nation entière à l'ensemble de nos forces combattantes nationales et aux familles des victimes. La lutte est âpre, le combat parsemé d'embûches, mais notre sursaut patriotique et notre détermination restent intacts jusqu'à la victoire finale. La Patrie ou la mort, nous vaincrons. ››? 

 Modeste KONOMBO

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Une cinquantaine de nos soldats tombés dans l'attaque terroriste entre Déou et Oursi le 17 février 2023, voici le message du Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim Traoré, à l'annonce du bilan ce lundi 20 février. 

Attaque terroriste sur l'axe Oursi-Déou, les chiffres sont revius à la hausse.

Les accords militaires entre le Burkina et la France dénoncés par la partie burkinabè le 18 janvier 2023, arrivent a échéance. Fini l'opération "SABRE" au Burkina, une cérémonie officielle marquant le départ du dernier soldat français a eu lieu ce 18 février 2023 à l'intérieur de la Base a Kamboinssin à Ouagadougou.

C'est un drame, un suicide au barrage de Tanghin.

Au Tchad, plusieurs morts dans des manifestations contre le maintien de Mahamat Idriss Deby au pouvoir.

Huit villages de la commune de Mangodara, dans la province de la Comoé, au sud-ouest du pays, à la frontière avec la Côte d'Ivoire, ont été désertés par leur population. Depuis environ une semaine des milliers de familles partent trouver refuge à Mangodara, chef-lieu de la commune ou bien de l'autre côté de la frontière. Elles fuient l'insécurité.