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Le Gouvernement du Burkina Faso a dénoncé l'accord d'assistance militaire technique, conclu à Paris le 24 avril 1961 entre la République de Haute Volta et la République française, y compris ses deux annexes. Par cet acte, les autorités de la transition exigent de la France, le départ de tous les personnels militaires français du pays et dans un délais de un mois. La dénonciation est faite par la ministre des affaires étrangères, de la coopération régionale et des burkinabè de l'extérieur du Burkina Faso

Annoncé pour ce jeudi 23 février 2023, l'inhumation des restes du Capitaine Thomas Sankara et ses 12 compagnons assassinés le 15 octobre 1987 a effectivement eu lieu. La cérémonie s'est déroulée comme prévu au Conseil de l'entente et présidée par le premier ministre Appolinaire Kyelem de Tambela.

Une cinquantaine de nos soldats tombés dans l'attaque terroriste entre Déou et Oursi le 17 février 2023, voici le message du Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim Traoré, à l'annonce du bilan ce lundi 20 février. 

D'abord annoncé aux premières heures du drame avec 08 soldats tombés, 03 blessés, des militaires disparus et plus de 60 terroristes tués, l'aarmée burkinabè vient de communiquer ce lundi 20 février 2023 le nouveau bilan de l'ambuscade tendue à nos combattants entre  Oursi et Deou dans le Sahel le 17 février dernier. Ce décompte fait état de 51 militaires burkinabè tombés, plus de 160 terroristes supplémentaires abattus.

Les accords militaires entre le Burkina et la France dénoncés par la partie burkinabè le 18 janvier 2023, arrivent a échéance. Fini l'opération "SABRE" au Burkina, une cérémonie officielle marquant le départ du dernier soldat français a eu lieu ce 18 février 2023 à l'intérieur de la Base a Kamboinssin à Ouagadougou.

L’association citoyenne pour la défense des droits des administrés (ACDDA), à travers un point de presse le mercredi 8 février 2023, lance une pétition pour selon elle, "l’adoption d’une loi pénalisant l’homosexualité par l’Assemblée législative de transition (ALT)".

Il n'est pas rare de voir diffuser dans les réseau sociaux des vidéos d'enfants à qui l'on fait répéter difficilement, en classe, un mot ou une phrase en français. Ces enfants pour la plupart, filmés par leur propre enseignant font ensuite l'objet de raillerie par les internautes qui se partagent les vidéos dans les différents groupes. Acte humiliant et à caractère déshonorant, ce geste déplacé qui est fait preuve de "manque de professionnalisme" chez ses auteurs est puni par la loi. C'est ainsi que le gouvernement décide de sévir, pour mettre fin à ces écarts de comportements.