Littérature : «Les enfants et les arbres de la savane» Tome II, nouvelle œuvre de Béatrice Marie Simporé Spécial

dimanche, 17 mars 2019 11:29 Écrit par  Salamata NIKIEMA/ Infobf.net Publié dans Culture

Une nouvelle œuvre littéraire pour le bonheur des lecteurs. Ce samedi 16 mars 2019 à Ouagadougou, à travers une conférence de presse, l’écrivaine Béatrice Marie Simporé a présenté le Tome II de sa nouvelle œuvre intitulée « les enfants et les arbres de la savane ».

Après la parution du Tome I de « quand les plantes parlent aux enfant », Béatrice Marie Simporé signe son grand retour sur la scène littéraire avec le Tome II du livre « les enfants et les arbres de la savane ». Ce livre comporte quarante pages sur les différentes espèces de plantes dont certaines sont en voie de disparitions.

Abordant la problématique de disparition de certains arbres dans la capitale Ouagadougou, l’infirmière à la retraite, relate dans son œuvre que cela est en partie dû au bitumage du des routes notamment le tronçon « échangeur de l’Est - Avenue Thomas Sankara », où plusieurs arbres ont été abattus. « Certains arbres sont en voie de disparition, d’autres ont déjà disparu », s’inquiète l’écrivaine écologiste.

ecrivaine-2 Auteur du livre, Béatrice Marie Simporé

La littérature et elle, c’est une longue histoire. Depuis son jeune âge, explique Béatrice Marie Simporé, « j’ai toujours admiré la nature » avoue-t-elle. Cet amour pour « mère-nature » lui a visiblement permis aujourd’hui de faire ses preuves à travers deux œuvres qui traitent de ces questions et qui permettent aux enfants de découvrir des espèces locales qui existent partout au Burkina.

Lors de la présentation de ce livre « les enfants et les arbres de la savane », Béatrice avait à ses côtés Ousséni Nikiéma, un autre écrivain burkinabè, qui a beaucoup apprécié le travail exposé aujourd’hui. Pour lui, ce livre est sans conteste un repère pour les burkinabè en matière d’environnement.

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Pour les enfants, il pense qu’il leur permettra d’avoir des connaissances physiques et de pourvoir se renseigner sur les vertus de chaque espèce locale.

L’écrivaine dit avoir bénéficié du soutien de chercheurs du Centre national de recherche scientifique et technologique (CNRST) et de l’accompagnement financier du Programme de micro-finance du fonds pour l’environnement (FEM).

 

Salamata NIKIEMA

Infobf.net

 

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